(Single-attached
concentrator) concentrateur à connexion unique.
Concentrateur FDDI ou CDDI connecté au réseau en cascade à partir du port
principal d'un autre concentrateur FDDI ou CDDI. 1.) (Service access
point) point d'accès au service. Champ de la spécification d'une
adresse défini par la norme IEEE 802.2. Ainsi, la destination plus le point
d'accès DSAP définissent le destinataire d'un paquet. La même chose est vraie
pour le protocole SAP. Voir aussi DSAP et SSAP. Segmentation
et réassemblage. Une des deux sous-couches de la
sous-couche de convergence (CPCS) de la couche d'adaptation ATM (AAL), qui
est responsable de diviser (à la source) et de réassembler (à destination)
les unités de protocole de données (PDU) passées en provenance de la
sous-couche de convergence (CS). La sous-couche SAR prend les PDU traitées
par la sous-couche de convergence et, après les avoir divisées en blocs de
données utiles de 48 octets, les passent à la couche ATM pour poursuivre le
traitement. Voir aussi AAL, couche ATM, CPCS, CS et SSCS. (Single
attachment station) station à connexion unique. Unité
connectée uniquement à l'anneau primaire d'un anneau FDDI. Aussi appelé station
de classe B. Comparer avec DAS. Voir aussi FDDI. Terme décrivant le passage
d'un paquet de données entre deux nœuds de réseau (par exemple, entre deux
routeurs). Voir aussi nombre
de sauts.
Technologie de bus utilisée
dans les serveurs et postes de travail de type Sun SPARC. La spécification
SBus a été adoptée par l'IEEE comme nouvelle norme de bus.
Fonction offerte par la
plupart des équipements d'essai de câbles. Utilisé pour vérifier les
installations de câbles à paires torsadées ; indique quelles paires de fils
se connectent à quelles broches sur les prises et des ports. (Sustainable
cell rate) taux de cellules admissibles. Paramètre
défini par l'ATM Forum pour la gestion du trafic ATM. Dans le cas des
connexions à débit variable (VBR), le SCR détermine le taux moyen à long
terme de cellules pouvant être transmises. Voir aussi VBR.
Chaîne de texte qui définit le
dialogue d'entrée en communication entre deux systèmes. Constitué de paires
prévision-envoi qui définissent la chaîne que le système local s'attend à
recevoir du système distant et ce que le système local devrait envoyer comme
réponse. (Serial clock
transmit external) horloge de transmission série externe.
Signalisation de synchronisation que l'ETTD envoie à l'ETCD en écho pour
maintenir la synchronisation. La SCTE est conçue pour compenser le décalage
de phase dans les longs câbles. Lorsque l'ETCD utilise la SCTE au lieu de son
horloge interne pour échantillonner les données de l'ETTD, il peut le faire
sans erreur même s'il y a décalage de phase dans le câble. Voir aussi décalage de phase. (Synchronous
Digital Hierarchy) hiérarchie numérique synchrone.
Norme européenne qui définit un ensemble de normes relatives au débit et au
format transmis par signaux optiques au moyen de fibres optiques. La
hiérarchie SDH est semblable à SONET, avec un débit SDH de base de 155,52
Mbits/s, au niveau STM-1. Voir aussi SONET et STM-1. (Synchronous Data Link Control) protocole SDLC. Protocole de
communications de la couche liaison de données en architecture SNA. Le
protocole SDLC est un protocole série bidirectionnel axé sur les bits, qui a
donné naissance à divers autres protocoles similaires, dont les protocoles
HDLC et LAPB. Voir aussi HDLC and LAPB.
Fonction qui effectue la
traduction entre SDLC et IEEE 802.2 de type 2.
SMDS DSU.
Unité de service numérique (DSU) permettant d'accéder au service de commutation
de données haut débit SMDS par l'intermédiaire de l'interface HSSI et
d'autres interfaces série. (Service data
unit) unité de données de service. Unité
d'information d'un protocole de couche supérieure qui définit une demande de
service à un protocole de couche inférieure. (Simple and
efficient AAL) AAL simple et efficace. Mécanisme
utilisé par AAL5 qui permet à la sous-couche SAR de segmenter les unités de
données de protocole de la sous-couche de convergence sans ajouter de champs
supplémentaires. Voir aussi AAL, AAL5, CS et SAR.
Voir station secondaire. 1.) Section d'un réseau reliée
par des ponts, des routeurs ou des commutateurs.
Voir SAR.
Voir CTS.
Voir FCS.
Voir SPX.
Voir SPP.
Voir SRTP.
Voir SCTE.
Voir SLIP.
Voir SMB. Nœud ou logiciel qui fournit
des services à des clients. Voir aussi back end, client et frontal. Processeur de communication
qui connecte des dispositifs asynchrones à un réseau local ou à un réseau
longue distance par le biais de logiciels réseau et d'émulation de terminal.
Il effectue le routage synchrone et asynchrone des protocoles supportés.
Quelquefois nommé serveur d'accès au réseau. Comparer avec serveur de communications.
Voir serveur d'accès. Processeur de communication
qui connecte des dispositifs asynchrones à un réseau local ou à un réseau
longue distance par le biais de logiciels réseau et d'émulation de terminal.
Il n'exécute que le routage asynchrone des protocoles IP et IPX. Comparer
avec serveur
d'accès.
Voir LECS.
Voir BUS.
Dans l'architecture SNA, nœud
de réseau fournissant des services de localisation de ressources et de
sélection de routes pour les nœuds d'extrémité, les nœuds LEN et les unités
logiques se trouvant dans son domaine.
Serveur connecté à un réseau
et qui convertit les noms de réseau en adresses réseau.
Processeur de communication
reliant des unités asynchrones tels que des terminaux, des imprimantes, des
ordinateurs hôtes et des modems à tout réseau local ou longue distance qui
utilisent les protocoles TCP/IP, X.25 ou LAT. Les serveurs de terminaux
fournissent une intelligence interréseau non disponible dans les unités
connectées.
Voir LES.
Ordinateur en réseau qui
reçoit, gère et exécute (ou envoie pour exécution) les demandes d'impression
provenant d'autres unités réseau.
Voir CGS.
Système d'exploitation de
réseau développé par IBM et dérivé de LAN Network Manager. Voir aussi LNM.
Serveur établissant une
connexion " un à plusieurs " avec chaque unité d'un réseau local
virtuel, définissant ainsi un domaine de broadcast pour chaque segment du
réseau. Le serveur multipoint n'achemine les messages de broadcast entrants
qu'à l'adresse de multicast correspondant à l'adresse de broadcast.
Routeur ou autre unité
agissant comme serveur pour le protocole RCP. Voir aussi RCP.
Voir SMDS.
Voir CBDS. Fonction du commutateur ATM
LightStream 2020, qui permet de diagnostiquer les composants défectueux, de
les retirer et de les remplacer pendant que le reste du commutateur continue
de fonctionner normalement. Parfois abrégé en fonction POS. Parfois
appelé échange système à chaud. Voir aussi OIR.
Ensemble d'outils d'analyse du
commutateur Catalyst 5000, constitué d'un agent RMON et de l'analyseur SPAN.
Ces outils permettent de contrôler le trafic, ainsi que de gérer et
d'analyser les segments réseau. Voir aussi RMON et SPAN.
Voir NIS.
Commande assurant une
protection supplémentaire.
Interface entre des unités non
SNA et NetView qui envoie des alertes à l'environnement SNA à partir
d'équipement inconnu.
Voir SPID.
Voir CMNS.
Voir CLNS.
Voir SSCS.
Service qui aide les unités
réseau à repérer les fournisseurs de services.
Voir SNADS.
Fonctions SNA réparties entre
les composants réseau pour assurer la gestion et le contrôle d'un réseau SNA.
Voir CMIS.
1.) Ensemble de transactions
de communication entre deux unités réseau ou plus.
Session utilisée par
l'architecture SNA pour permettre à un centre directeur de gérer les
ressources d'un nœud par l'intermédiaire de l'unité physique. Les centres
directeurs (SSCP) peuvent envoyer des demandes à des nœuds individuels et en
recevoir des réponses, dans le but de contrôler la configuration du réseau. (Super Frame)
supertrame. Type de mise en trame courant utilisé dans les
circuits T1. La supertrame est constituée de 12 trames de 192 bits chacune,
le 193e bit permettant la détection des erreurs et d'autres fonctions. La
supertrame a été remplacée par la supertrame étendue (ESF), mais elle est
encore très répandue. Aussi appelé trame D4. Voir aussi ESF. (Simple
Gateway Monitoring Protocol) protocole de passerelle à passerelle.
Protocole de gestion de réseau qui a été considéré pour l'uniformisation
d'Internet et qui est ultérieurement devenu le protocole SNMP. Documenté dans
la RFC 1028. Voir aussi SNMP.
Commande affichant le contenu
de toutes les listes d'accès.
1.) Commande permettant de
vérifier si le système offre suffisamment de mémoire pour le logiciel IOS
Cisco que vous désirez charger. Commande servant à afficher
l'état et les paramètres généraux d'une interface. 1.) Commande permettant
d'afficher les valeurs relatives aux horloges de routage et les informations
réseau associées au routeur. Commande affichant le contenu
d'une table de routage IP.
Commande servant à afficher la
configuration actuelle en mémoire vive.
Commande servant à afficher la
configuration enregistrée.
Équipement réseau qui accepte
les transmissions de données.
Voir STS-1.
Voir STS-3c.
Voir AIS.
Langage des ordinateurs
constitué uniquement de deux états, sous tension et hors tension, qui sont
indiqués par une série de décharges électriques.
Processus d'envoi d'un signal
de transmission dans un média physique à des fins de communication.
Voir signalisation bit A&B. Processus utilisé dans les unités de transmission
T1 dans lesquelles chacun des 24 sous-canaux T1 consacre un bit de chaque 6e
trame au transport d'informations de signalisation de supervision. Aussi
nommé signalisation au 24e canal.
Technique de signalisation
utilisée dans les réseaux 100VG-AnyLAN qui permet de transmettre des données
à un débit de 100 Mbits/s par câble à quatre paires torsadées non blindées,
aux mêmes fréquences que celles utilisées dans les réseaux 10BASE-T. Voir
aussi 100VG-AnyLAN. Transmission à l'aide de
fréquences ou de canaux à l'extérieur des fréquences ou des canaux qui sont
habituellement utilisés pour le transfert de données. La signalisation hors
bande est souvent utilisée pour la détection d'erreurs lorsque les problèmes
que peut connaître le réseau sont susceptibles d'entraver la signalisation in
band. Comparer avec signalisation
in band. Transmission à l'intérieur
d'une gamme de fréquences habituellement utilisée pour la transmission
d'informations. Comparer avec signalisation hors bande. Technique utilisée par le
protocole CMIP pour obtenir les informations nécessaires à la supervision du
réseau. Elle est tributaire des unités du réseau, qui doivent faire rapport
de leur état à une station de supervision centralisée du réseau.
Voir CCS.
Voir AMI. Capacité de transmettre les
données dans une seule direction entre une station émettrice et une station
réceptrice. Comparer avec full duplex et half-duplex. 1.) (SMDS Interface
Protocol) protocole d'interface SMDS. Utilisé dans les
communications entre l'équipement CPE et le matériel réseau SMDS. Permet au
CPE d'utiliser le service SMDS pour l'interconnexion de réseaux longue
distance à haut débit. Repose sur la norme IEEE 802.6 DQDB. Voir aussi DQDB. (Serial Line Internet Protocol) protocole SLIP. Protocole
standard pour les connexions série point à point, qui utilise une variante de
TCP/IP. Prédécesseur du protocole PPP. Voir aussi CSLIP et PPP. Source MAC.
Adresse MAC indiquée dans le champ d'adresse source d'un paquet. Comparer
avec DMAC.
Voir aussi adresse
MAC. (Server Message Block) protocole SMB. Protocole de
système de fichiers utilisé par LAN Manager et d'autres systèmes
d'exploitation de réseau pour préparer les données et échanger des
informations avec d'autres systèmes. (Switched
Multimegabit Data Service) service de commutation de données haut débit.
Technologie de mise en réseau WAN haut débit, à datagrammes et à commutation
de paquets, offerte par les compagnies de téléphone. Voir aussi CBDS. (Structure of
Management Information) règle de gestion des informations d'administration.
Document (RFC 1155) précisant les règles utilisées pour définir des objets
gérés dans la base MIB. Voir aussi MIB. (Simple Multicast Routing Protocol) protocole SMRP. Protocole
réseau multipoint spécialisé, utilisé pour le routage des flux de données
multimédias dans les réseaux d'entreprise. Le protocole SMRP fonctionne de
concert avec les extensions multicast du protocole AppleTalk. (Station
Management) gestion de stations.
Spécification FDDI de l'ANSI qui définit la manière de gérer les stations en
anneau. (Simple Mail
Transfer Protocol) protocole SMTP. Protocole
Internet qui fournit des services de courrier électronique. (Systems Network Architecture) architecture SNA. Architecture
de réseau complexe et riche en fonctions, développée par IBM dans les années
1970. Similaire, sous certains aspects, au modèle de référence OSI,
mais avec plusieurs différences. L'architecture SNA est essentiellement
constituée de sept couches. Voir couche de contrôle de flux, couche de contrôle de liaison de données, couche de contrôle d'acheminement, couche de contrôle physique, couche de présentation, couche de services de transaction et couche de transmission. (SNA
Distribution Services) services de distribution SNA.
Ensemble de programmes de transaction SNA interconnectés, qui travaillent en
collaboration pour assurer la distribution asynchrone des informations entre
les utilisateurs finals. Un des trois services de transaction SNA. Voir aussi
DDM et EDI. (Subnetwork Access Protocol) protocole SNAP. Protocole
Internet fonctionnant entre une entité réseau dans le sous-réseau et une
entité réseau dans le système d'extrémité. Le protocole SNAP précise une
méthode standard d'encapsulage des datagrammes IP et des messages du
protocole ARP dans les réseaux IEEE. L'entité SNAP du système d'extrémité
utilise les services du sous-réseau et effectue trois fonctions clés :
transfert de données, gestion de connexions et sélection de la qualité de
service. 1.) (Subscriber Network Interface) interface SNI.
Interface pour les réseaux de type SMDS, qui relie le CPE et un
commutateur SMDS. Voir aussi UNI. SNMP version 2. Version 2 du
populaire protocole de gestion de réseau. La version 2 du protocole SNMP
autorise les stratégies de gestion de réseau centralisée et distribuée. Elle
inclut des améliorations au niveau des règles SMI, du fonctionnement du
protocole, de l'architecture de gestion et de la sécurité. Voir aussi SNMP. (Subnetwork
point of attachment) point de connexion au sous-réseau.
Adresse de couche liaison de données (comme une adresse Ethernet, une adresse
X.25 ou une adresse DLCI Frame Relay). Les adresses SNPA servent à configurer
une route CLNS pour une interface.
Voir BOC.
Voir RBOC.
Structure logicielle
fonctionnant comme un point d'extrémité de communication dans une unité
réseau.
1.) Méthode de vérification
des données transmises. Une somme de contrôle est un nombre entier obtenu à
partir d'une séquence d'octets par une série d'opérations arithmétiques.
L'extrémité réceptrice calcule la valeur de nouveau et la compare à la valeur
reçue pour la vérifier. 2.) Somme de contrôle calculée pour les champs
d'en-tête et de données.
Champ, à l'intérieur d'un
datagramme IP, qui indique le résultat de la vérification de l'intégrité de
l'en-tête.
Paquets transmis par le
protocole de résolution d'adresse AppleTalk qui déterminent si un code
d'identification de nœud sélectionné au hasard est utilisé par un autre nœud
dans un autre réseau AppleTalk non étendu. Si le code d'identification de
nœud n'est pas utilisé, le nœud émetteur l'utilise. Si le code
d'identification de nœud est utilisé, le nœud émetteur sélectionne un code
différent et transmet d'autres sondes d'analyse AARP. Voir aussi AARP. (Synchronous
Optical Network) réseau optique synchrone.
Spécification de réseau synchrone à haut débit (jusqu'à 2,5 Gbits/s) élaborée
par Bellcore et conçue pour la fibre optique. STS-1 est la base de SONET.
Approuvé à titre de norme internationale en 1988. Voir aussi SDH, STS-1 et STS-3c.
Voir RJE.
Voir SMAC.
Dans la terminologie des
réseaux large bande, subdivision basée sur la fréquence qui crée un canal de
communication distinct.
Voir PHY.
Une des interfaces virtuelles
d'une interface physique unique. 1.) Dans les réseaux IP,
réseau partageant une adresse de sous-réseau particulière. Les sous-réseaux
sont des réseaux segmentés de manière arbitraire par un administrateur réseau
afin d'offrir une structure de routage hiérarchique à plusieurs niveaux, tout
en protégeant le sous-réseau de la complexité d'adressage des réseaux
connectés. Voir aussi adresse
IP, adresse de sous-réseau et masque de sous-réseau.
Dans une topologie en étoile,
un interréseau ayant accès aux autres interréseaux uniquement par
l'intermédiaire d'un routeur principal.
Segment de données d'un
vecteur dans un message SNA. Un sous-vecteur est constitué d'un champ de
longueur, d'une clé décrivant le type de sous-vecteur et de données relatives
au sous-vecteur.
Partie d'un réseau SNA
constituée d'un nœud de sous-zone, des liaisons qui y sont connectées et des
nœuds périphériques.
Voir SURAnet. (Switch
Processor) processeur SP. Module de traitement des routeurs
Cisco 7000, qui agit comme administrateur de toutes les activités du CxBus.
Parfois appelé contrôleur ciscoBus. Voir aussi CxBus. 1.) (Switched Port Analyzer) analyseur
SPAN. Fonction
du commutateur Catalyst 5000 qui étend les fonctions de surveillance des
analyseurs de réseau existants dans un environnement Ethernet commuté.
L'analyseur SPAN crée une réplique du trafic à un segment commuté sur un port
SPAN prédéterminé. Un analyseur de réseau connecté au port SPAN peut
surveiller le trafic provenant de l'un quelconque des ports de commutation du
Catalyst. Portion sans boucle d'une
topologie de réseau. Voir aussi algorithme " spanning tree " et protocole " spanning tree ".
Voir AST.
Voir NDIS. algorithme du
plus court chemin d'abord. Algorithme de routage qui fait une
itération sur la longueur de la route afin de déterminer le Spanning Tree du
chemin le plus court. Couramment utilisé dans les algorithmes de routage à
état de liens. Parfois appelé algorithme de Dijkstra. Voir aussi algorithme de routage à état de liens. (Service
Profile Identifier) identificateur de profil de service.
Numéro utilisé par certains fournisseurs de services pour définir les
services auxquels une unité RNIS est abonnée. L'unité RNIS utilise le SPID au
moment de l'accès au commutateur qui initialise la connexion à un fournisseur
de services. 1.) Méthode utilisée par les
routeurs Cisco pour qu'un hôte traite une interface comme si elle était
fonctionnelle et prenait une session en charge. Les signaux contrefaits du
routeur répondent aux messages de test d'activité de l'hôte afin de
convaincre ce dernier que la session est toujours en cours. Le "
spoofing " est utile dans les environnements de routage à établissement
de connexion à la demande (DDR), où une liaison à commutation de circuits est
coupée lorsqu'il n'y a pas de trafic à envoyer afin de réaliser des économies
sur les frais d'interurbains. Voir aussi DDR.
Sous-ensemble de "
spoofing " qui désigne un routeur agissant pour un client NetWare en
envoyant des paquets de contrôle de séquence à un serveur NetWare pour
maintenir la session active entre le client et le serveur. Voir aussi spoofing.
Application qui gère les
demandes ou les travaux qui lui sont soumis pour exécution. Les spoolers
traitent en séquence les demandes soumises dans une file d'attente. Le
spooler d'impression est un exemple de spooler. (Sequenced Packet Protocol) protocole SPP. Assure de
manière fiable la transmission des paquets axée sur la connexion, avec
contrôle de flux, pour le compte des processus clients. Fait partie de
l'ensemble de protocoles XNS. (Sequenced
Packet Exchange) échange de paquets en série. Protocole
fiable axé sur la connexion, qui complète le service de datagramme fourni par
les protocoles de couche réseau (couche 3). Novell a créé son populaire
protocole de transport NetWare à partir du protocole SPP de l'ensemble de
protocoles XNS. (Signal
quality error) erreur de qualité de ligne.
Transmission retournée au contrôleur par un émetteur-récepteur pour lui indiquer
si les circuits de collision sont fonctionnels. Aussi appelé pulsation. (Source-route translational bridging) pontage
SR/TLB. Méthode
de pontage selon laquelle les stations de pont par la source peuvent
communiquer avec des stations de pont transparent à l'aide d'un pont
intermédiaire qui effectue la traduction entre les deux protocoles de pont.
Comparer avec SRT. Type de mémoire vive qui
conserve son contenu tant qu'elle est alimentée électriquement. La mémoire
vive statique ne nécessite pas un rafraîchissement constant comme la mémoire
vive dynamique (DRAM). Comparer avec DRAM. (Source-route
bridging) pontage par la source. Méthode de
pontage élaborée par IBM, fréquemment utilisée dans les réseaux Token Ring.
Dans un réseau à pontage par la source, la route complète à une destination
est prédéterminée, en temps réel, avant l'envoi des données à destination.
Comparer avec pontage
transparent. (Source-route
transparent bridging) pontage SRT. Méthode de
pontage d'IBM qui combine les deux stratégies de pontage prédominantes :
pontage SRB et pontage transparent. Le pontage SRT emploie les deux
technologies dans une unité afin de répondre aux besoins de tous les nœuds
d'extrémité. Aucune traduction entre les protocoles de pontage n'est
nécessaire. Comparer avec SR/TLB. (Sequenced Routing Update Protocol) protocole SRUP. Protocole qui
aide les serveurs VINES à trouver les clients, les serveurs et les routeurs
du voisinage. Voir aussi RTP (protocole de tables de routages). (Signaling
System number 7) protocole de signalisation CCITTN°7.
Système CCS standard utilisé avec RNIS large bande et RNIS. Développé par
Bellcore. Voir aussi CCS. (Source
service access point) point d'accès au service source. Le
point d'accès au service du nœud réseau désigné dans le champ Source d'un
paquet. Comparer avec DSAP.
Voir aussi SAP
(point d'accès au service). (System
services control points) centre directeur. Dans un
réseau SNA, points focaux pour la gestion de la configuration réseau, la
coordination de l'opérateur réseau et les demandes d'identification des
problèmes, qui fournissent des services d'annuaire et d'autres services de
session pour les utilisateurs finals du réseau. (Service
specific convergence sublayer) sous-couche de convergence spécifique aux
services. Une des deux sous-couches de toute couche
d'adaptation ATM. La SSCS, qui n'est pas tributaire des services, assure une
transmission de données fiable. La SSCS peut aussi être nulle, dans les mises
en œuvre classiques d'émulation IP sur ATM ou réseau local. Voir aussi AAL, couche ATM, CPCS, CS et SAR. (Silicon
switching engine) système de commutation sur silicium.
Mécanisme de routage et de commutation qui compare l'en-tête de couche réseau
ou de couche liaison de données d'un paquet entrant à une mémoire cache de
commutation au silicium, détermine l'action à effectuer (routage ou pontage)
et achemine le paquet à l'interface appropriée. Le SSE est directement codé
dans le matériel du SSP (processeur de commutation sur silicium) d'un routeur
Cisco 7000. Il peut donc effectuer la commutation indépendamment du
processeur du système, rendant ainsi l'exécution des décisions de routage
beaucoup plus rapide que si elles étaient codées dans le logiciel. Voir aussi
commutation
sur silicium et SSP (processeur
de commutation sur silicium). 1.) (Silicon Switch
Processor) processeur de commutation sur silicium. Commutateur au
silicium hautes performances pour les routeurs Cisco 7000, qui fournit des
fonctions de contrôle et de traitement distribué pour les processeurs
d'interface. Le SSP tire parti des fonctions de routage et de commutation à
haut débit du système de commutation sur silicium (SSE) pour accroître
considérablement les performances du routeur et réduire les engorgements au
minimum aux points d'interface entre le routeur et un fédérateur à haut
débit. Voir aussi commutation
sur silicium et SSE.
Voir algorithme " spanning tree ". Norme existant du fait de son
utilisation très répandue. Comparer avec standard de jure.
Voir aussi norme. Norme qui existe parce qu'elle
a été approuvée par un organisme de normalisation officiel. Comparer avec standard de facto.
Voir aussi norme. Réseau local CSMA/CD, basé sur
la norme IEEE 802.3, développé par AT&T.
Voir multiplexage statistique.
Voir SAS.
Unité reliée à plusieurs
anneaux FDDI pour assurer la redondance.
Voir station terrestre.
Voir DAS.
Voir SAS.
Voir DAS. Dans les protocoles synchrones
de couche liaison de données par bit comme HDLC et SDLC, station qui contrôle
l'activité de transmission des stations secondaires et qui assure d'autres
fonctions de gestion comme le contrôle des erreurs, par interrogation ou
autres moyens. Les stations primaires envoient des commandes aux stations
secondaires et en reçoivent des réponses. Aussi appelée simplement une primaire.
Voir aussi station
secondaire. Dans les protocoles synchrones
par bit de couche liaison de données comme HDLC, station répondant aux
commandes d'une station primaire. Parfois simplement appelé secondaire.
Voir aussi station
primaire. Ensemble d'équipements de
communication conçu pour recevoir des signaux (et aussi pour en transmettre) des
satellites. Aussi appelé station de base. (Synchronous
Transport Module level 1) module de transport synchrone niveau 1. Un
des formats SDH qui précise la structure de trame pour les lignes de 155,52
Mbits/s utilisées pour transporter les cellules ATM. Voir aussi SDH. 1. (Shielded twisted-pair) paire torsadée blindée.
Fil à deux paires utilisé dans une variété de mises en œuvre de réseau.
Ce fil comporte une couche d'isolant blindé afin de réduire les interférences
électromagnétiques. Comparer avec UTP. Voir aussi paire torsadée. (Synchronous
Transport Signal level 1) signal de transport synchrone niveau 1.
Signal de base de SONET, à un débit de 51,84 Mbits/s. Les débits SONET plus
rapides sont définis sous la forme STS-n, où n est un multiple
de 51,84 Mbits/s. Voir aussi SONET. (Synchronous
Transport Signal level 3, concatenated) signal de transport synchrone niveau
3, concaténé. Format SONET précisant la structure de trame
pour les lignes de 155,52 Mbits/s utilisées pour transporter les cellules
ATM. Voir aussi SONET. (Serial
tunnel) tunnel série. Fonction d'un routeur permettant à
deux unités compatibles SDLC ou HDLC de se connecter entre elles par
l'intermédiaire d'une topologie multiprotocole arbitraire (à l'aide de
routeurs Cisco), plutôt que par l'intermédiaire d'une liaison série directe.
Voir sous-réseau.
Processus de transport
d'accusés de réception dans un paquet de données afin d'économiser la largeur
de bande.
Voir SF. Dispositif qui assure la
gestion d'un réseau Token Ring. Le nœud de réseau ayant l'adresse MAC la plus
élevée sur l'anneau est sélectionné comme superviseur actif. Le superviseur
actif se charge des tâches de gestion, telles que veiller à ce qu'aucun jeton
ne soit perdu ou à ce que les trames ne circulent pas indéfiniment. Voir
aussi superviseur
d'anneau et moniteur de secours. Outil de gestion centralisée,
destiné aux réseaux Token Ring et basé sur la norme IEEE 802.5. Voir aussi superviseur actif et moniteur de secours.
Voir ATMM.
Voir FRAS.
Voir médias. Méthode d'encodage de ligne
utilisée par l'horloge de transmission. La fonction de suppression des zéros
substitue un 1 dans le septième bit d'une chaîne de huit zéros consécutifs.
Voir aussi densité
de uns. Southeastern Universities Research Association
Network. Réseau
reliant des universités et d'autres organismes dans le sud-est des
États-Unis. Fondé à l'origine par le National Science Foundation, le SURAnet,
qui faisait partie du réseau NSFNET, fait maintenant partie de BBN Planet.
Voir aussi BBN
Planet, NSF et NSFNET. Toute hausse de tension
supérieure à 110 % de la tension normale d'un circuit électrique. Voir fléchissement, pointe et oscillation. (Switched virtual circuit) circuit virtuel commuté. Circuit
virtuel établi de manière dynamique sur demande qui est défait à la fin de la
transmission. Les circuits virtuels commutés sont utilisés lorsque les
transmissions de données sont sporadiques. Appelé connexion virtuelle
commutée en terminologie ATM. Comparer avec PVC.
Logiciel de gestion de réseau
de Cisco basé sur le protocole SNMP, qui tourne sous Microsoft Windows et qui
offre un ensemble d'outils puissants pour la gestion d'un réseau complet,
incluant les commutateurs, les concentrateurs, les routeurs et les ponts.
SwitchVision peut détecter et mapper automatiquement toute unité SNMP dans le
réseau, et afficher l'état des unités réseau. SwitchVision permet aux
administrateurs réseau de fixer des seuils d'événement, d'effectuer des
actions en cas d'erreur et de configurer des tableaux et des graphiques
personnalisés présentant les variables essentielles du réseau.
Voir balun.
Établissement d'un
synchronisme commun entre l'émetteur et le récepteur. (System
generation) génération système. Processus de définition des
ressources réseau. Ensemble de réseaux gérés par
un administrateur commun et partageant une stratégie de routage commune. Les
systèmes autonomes sont subdivisés par zones. La IANA doit attribuer un
numéro de 16 bits unique au système autonome. Peut être abrégé de la façon
suivante : AS. Voir aussi zone et IANA.
Voir CICS.
Voir NMS.
Voir PSE.
Voir SSE.
Utilisation de matériel sur
des lignes louées à fréquences vocales afin d'en améliorer les
caractéristiques analogiques et d'en augmenter le débit. Combinaison d'un lecteur de
disque dur, d'un lecteur de disquettes et d'un bloc d'alimentation de disque
sur un commutateur ATM LightStream 2020. Chaque carte processeur réseau dans
un châssis LightStream 2020 possède son propre système de disques.
Voir NFS.
Voir MHS.
Voir DNS.
Voir NOS.
Voir ES.
Voir IS.
Méthode de transmission à
multiplexage temporel qui fait habituellement référence à une ligne ou à un
câble transmettant un signal DS-1. Ordinateur, routeur,
commutateur ou tout autre système informatique qui contient deux de chacun
des sous-systèmes les plus importants, ou plus, comme deux disques durs, deux
processeurs ou deux blocs d'alimentation. Par exemple, dans un commutateur
ATM LightStream 2020 entièrement redondant, il y a deux cartes processeur
réseau avec disques, deux cartes de commutation et deux blocs d'alimentation.
Un commutateur LightStream 2020 partiellement redondant pourrait contenir
deux cartes processeur réseau, une carte de commutation et un bloc
d'alimentation.
Voir SNA. |