(ATM adaptation layer) couche
d'adaptation ATM. Sous-couche de la couche liaison de
données qui dépend du service. La couche d'adaptation ATM accepte des données
de différentes applications et les présente à la couche ATM sous la forme de
segments de charge utile de 48 octets. La couche d'adaptation ATM est
constituée de deux sous-couches : la sous-couche de convergence et la
sous-couche de segmentation et réassemblage. Les couches d'adaptation
diffèrent selon la synchronisation source-destination utilisée, selon que
leur débit est constant ou variable et selon qu'elles sont utilisées pour un
transfert de données en mode orienté connexion ou non orienté connexion. À
l'heure actuelle, les quatre types de couche d'adaptation ATM recommandés par
l'UIT-T sont les suivants : AAL1, AAL2, AAL3/4 et AAL5. Voir AAL1, AAL2, AAL3/4, AAL5, CS et SAR. Voir aussi ATM et couche ATM.
Voir SEAL. (ATM adaptation layer 1) couche
d'adaptation ATM 1. Une des quatre couches d'adaptation
ATM recommandées par l'UIT-T. La couche d'adaptation ATM 1 est utilisée dans
le cas de services urgents orientés connexion qui nécessitent des débits
constants, tels les signaux vidéo non comprimés et autres signaux isochrones.
Voir aussi AAL. (ATM
adaptation layer 2) couche d'adaptation ATM 2. Une des
quatre couches d'adaptation ATM recommandées par l'UIT-T. La couche
d'adaptation ATM 2 est utilisée dans le cas de services orientés connexion
qui utilisent un débit variable, tels certains signaux vidéo et vocaux
isochrones. Voir aussi AAL. (ATM
adaptation layer 3/4) couche d'adaptation ATM 3/4. Une
des quatre couches d'adaptation ATM (issue de la combinaison de deux couches
d'adaptation distinctes) recommandées par l'UIT-T. La couche d'adaptation ATM
3/4 est utilisée pour les liens non orientés connexion et orientés connexion.
Toutefois, elle est principalement utilisée pour la transmission de paquets
de données SMDS dans les réseaux ATM. Voir aussi AAL. (ATM
adaptation layer 5) couche d'adaptation ATM 5. Une des
quatre couches d'adaptation ATM recommandées par l'UIT-T. La couche
d'adaptation ATM 5 est utilisée pour les services à débit variable orientés
connexion. Elle est utilisée principalement pour le transfert de données IP
classiques dans les réseaux ATM et à émulation de réseau local. La couche
d'adaptation ATM 5 utilise la méthode SEAL et est la moins complexe des
couches d'adaptation ATM recommandées actuellement. Il s'agit d'une bande
passante à faible coût fixe ayant des exigences de traitement simples.
Toutefois, sa largeur de bande est réduite. Elle offre des capacités de
reprise sur erreur. Voir aussi AAL et SEAL. (AppleTalk
Address Resolution Protocol) protocole de résolution d'adresse AppleTalk.
Protocole issu de la pile de protocoles de résolution d'adresse AppleTalk qui
mappe une adresse de liaison de données sur une adresse de réseau. (Asynchronous
Balanced Mode) mode asynchrone équilibré. Mode de
communication de procédure HDLC (et le protocole qui en est dérivé) qui
permet la communication d'égal à égal, en point à point entre deux postes,
lorsque l'un ou l'autre des postes peut initier la transmission. 1.) (Available bit
rate) débit disponible ATM. Classe de qualité de service (QoS)
définie par l'ATM Forum pour les réseaux ATM. Le débit disponible ATM est
utilisé dans le cas des connexions qui ne nécessitent pas de synchronisation
entre la source et la destination. Il n'offre aucune garantie en terme de
perte de cellules ou de délai, car il fournit seulement un service "
meilleur effort ". Les sources de trafic règlent le débit de
transmission en fonction des informations qu'elles reçoivent concernant
l'état du réseau et sa capacité à transmettre les données. Comparer avec CBR, UBR et VBR.
Voir ARA.
Voir CLAW.
Voir BRI.
Voir DMA.
Voir NBMA.
Voir PRI.
Voir Cisco 2500.
Voir Cisco 5100. Avis transmis par une unité
réseau à une autre afin de confirmer qu'un événement (p. ex. la réception
d'un message) a eu lieu. Parfois abrégé en ACK. Comparer avec NAK. Méthode selon laquelle un nœud
de réseau intermédiaire, par exemple un routeur, répond aux accusés de
réception d'un hôte d'extrémité distant. L'utilisation d'accusés de réception
locaux réduit la charge administrative du réseau et par conséquent, le risque
de dépassement des délais d'attente. Aussi appelé terminaison locale.
Voir NAK.
Type d'accusé de réception
dans lequel le numéro d'accusé de réception se rapporte à l'octet prévu
ensuite. (Advanced
Communications Function) fonction évoluée de communication.
Groupe de produits SNA qui effectue la distribution du traitement et le
partage des ressources. Voir aussi ACF/NCP. (Advanced
Communications Function/Network Control Program) programme de fonction
évoluée de communication / de commande de réseau.
Principal programme de gestion de réseau pour architecture SNA. Le programme
ACF/NCP réside dans le contrôleur de communication et assure l'interface de
la méthode d'accès SNA dans le processeur hôte pour commander les
communications réseau. Voir aussi ACF et NCP.
Descriptif d'un système réseau
qui n'utilise pas d'équipement d'accusé de réception de pointe pour garantir
une livraison fiable de l'information.
Voir accusé de réception. (Allowed cell
rate) débit de cellules autorisé. Paramètre
défini par l'ATM Forum pour la gestion du trafic ATM. Le débit de cellules
autorisé varie entre le débit minimum garanti et le taux maximal de cellules.
Il est commandé dynamiquement à l'aide des mécanismes de commande de
congestion. Voir aussi MCR et PCR. (Association
control service element) élément de service et de contrôle d'association.
Convention OSI utilisée pour établir, maintenir ou rompre une connexion entre
deux applications.
Dispositif utilisé pour relier
des connexions RNIS BRI à des interfaces existantes telles que EIA/TIA-232.
Il s'agit, en fait, d'un modem RNIS. (Advanced
Data Communications Control Protocol) protocole ADCCP.
Protocole standard ANSI orienté-binaire de commande de liaison de données. Personne responsable de
l'exploitation, de la maintenance et de la gestion d'un réseau. Voir aussi opérateur réseau.
Ensemble d'outils de gestion
de réseau de Cisco basés sur le protocole SNMP et utilisés avec le
commutateur ATM LightStream 2020. L'ensemble StreamView comprend trois
applications à interface graphique : un programme de configuration (le
configurateur), une carte de topologie réseau (la carte topologique) et un
programme de surveillance de nœud (le moniteur); ainsi qu'une interface de
commande en ligne : la CLI. Voir aussi CLI, configurateur, moniteur et carte topologique.
Terme générique pour décrire
les systèmes ou les activités de maintenance, de définition ou de dépannage
d'un réseau. (Adaptive
differential pulse code modulation) modulation par impulsions et codage
différentiel. Processus servant à encoder les signaux
analogiques comportant des échantillons de signaux vocaux en signaux
numériques de haute qualité.
Structure de données ou
convention logique utilisée pour identifier une entité unique, telle qu'un
processus particulier ou une unité réseau. Adresse particulière réservée
à l'envoi d'un message à toutes les stations. Généralement, une adresse de
broadcast est une adresse de destination MAC constituée uniquement de uns
(1). Comparer avec adresse
de multicast et adresse d'unicast.
Voir aussi broadcast.
Voir adresse MAC.
Voir adresse MAC. Adresse d'une unité réseau qui
reçoit des données. Voir aussi adresse origine.
Adresse configurée sur une
interface à laquelle seront transmis les messages de broadcast reçus sur
cette interface.
Voir adresse de multicast. Adresse unique faisant
référence à plusieurs unités réseau. Synonyme d'adresse de groupe. Comparer
avec adresse
de broadcast et adresse d'unicast.
Voir aussi multicast.
Voir adresse réseau. Partie d'une adresse IP
spécifiée comme étant le sous-réseau par le masque de sous-réseau. Voir aussi
adresse
IP, masque de sous-réseau et sous-réseau.
Voir numéro de machine. Adresse précisant un seul
équipement réseau. Comparer avec adresse de broadcast et adresse de multicast.
Voir aussi unicast.
Voir adresse IP. Adresse 32 bits assignée à
des hôtes utilisant TCP/IP. Une adresse IP appartient à l'une des cinq
classes (A, B, C, D ou E) et est rédigée sous forme de quatre octets séparés
par des points. Chaque adresse comprend un numéro de réseau, un numéro de
sous-réseau optionnel et un numéro de machine. Les numéros de réseau et de
sous-réseau utilisés ensemble servent au routage, tandis que le numéro de
machine est utilisé pour s'adresser à un hôte particulier du réseau ou du
sous-réseau. Un masque de sous-réseau est utilisé pour extraire des
informations sur le réseau et le sous-réseau à partir de l'adresse IP.
Également appelée adresse Internet.
Voir adresse réseau. Adresse de couche liaison de
données standardisée qui est nécessaire pour chaque port ou unité se reliant
à un réseau local. D'autres unités sur le réseau utilisent ces adresses pour
repérer des ports précis dans le réseau et pour créer et mettre à jour des
tables de routage et des structures de données. Les adresses MAC comportent
six octets et sont contrôlées par l'IEEE. Également appelée adresse
matérielle, adresse de couche MAC ou adresse physique.
Comparer avec adresse
réseau.
Voir adresse MAC.
Voir DMAC. Voir adresse MAC. Adresse d'une unité réseau qui
envoie des données. Voir aussi adresse de destination.
Voir adresse MAC.
Désigne la notation couramment
utilisée pour les adresses IP, qui se présentent sous la forme <a.b.c.d.>,
où chaque nombre a représente, en notation décimale, un octet de
l'adresse IP de quatre octets. Aussi appelée notation à quatre octets
séparés par des points ou notation entière avec des points de
séparation. Adresse de couche réseau
désignant une unité logique plutôt qu'une unité physique du réseau. Aussi
appelée adresse de niveau protocole. Comparer avec adresse MAC.
Voir adresse réseau.
Champ d'un datagramme IP qui
indique les adresses IP d'origine et de destination de 32 bits. (ATM DSU)
dispositif de transmission numérique ATM. Carte de
terminal utilisée pour accéder au réseau ATM par le biais d'un dispositif
compatible HSSI. Voir aussi DSU.
Voir APPN.
Voir APPC.
Voir ARPA.
Voir ARPANET. (AppleTalk
Echo Protocol) protocole d'écho AppleTalk. Protocole
utilisé pour vérifier la connectivité entre deux nœuds AppleTalk. Un nœud
transmet un paquet à un autre nœud et reçoit un double, ou écho, de ce
paquet.
1.) En règle générale,
logiciel qui traite les requêtes et transmet les réponses pour une
application.
Voir MMA.
Routeur multiprotocole haut de
gamme de Cisco optimisé pour les grands interréseaux d'entreprise. Le routeur
AGS+ exécute le logiciel IOS de Cisco. Il offre une capacité d'extension
simple et efficace grâce à son format modulaire. (ATM
Interface Processor) processeur d'interface ATM. Interface
réseau ATM destinée aux routeurs Cisco 7000 et conçue pour minimiser les
goulots d'étranglement de performance à l'interface UNI. Le processeur
d'interface ATM est compatible avec les couches d'adaptation AAL3/4 et AAL5.
Voir aussi AAL3/4, AAL5 et Cisco 7000. (Alarm
indication signal) signal d'indication d'alarme. Dans le cas
d'une transmission T1, signal composé entièrement de 1 transmis au lieu du
signal normal afin de maintenir la continuité de la transmission et pour
indiquer à l'extrémité de réception qu'il y a un problème de transmission
situé soit à l'extrémité d'expédition, soit en amont de celle-ci. Voir aussi T1. Message avisant l'opérateur ou
l'administrateur d'un problème sur le réseau. Voir aussi événement et piège.
Règle ou processus bien défini
permettant de solutionner un problème. Dans le domaine des réseaux, les
algorithmes sont couramment utilisés pour déterminer la meilleure route pour
acheminer le trafic d'une source particulière à une destination particulière.
Algorithme utilisé par le
protocole d'acheminement pour créer un Spanning Tree. Parfois abrégé en STA.
Voir aussi Spanning
Tree et protocole " spanning tree ". Voir SPF.
Algorithme qui améliore
l'estimation du délai entre deux hôtes en permettant aux protocoles de la
couche transport de distinguer un délai correct d'un délai incorrect.
En fait, deux algorithmes distincts de contrôle
de la congestion pouvant être utilisés dans les réseaux TCP. Un algorithme
réduit la fenêtre d'émission et l'autre limite les petits datagrammes.
Algorithme de routage selon
lequel chaque routeur effectue une diffusion broadcast ou multicast des
informations sur les coûts générés pour atteindre chaque routeur voisin., à
destination de tous les nœuds de l'interréseau. Les algorithmes à état de
liens créent une vue uniforme du réseau et ne génèrent pas habituellement de
boucles de routage, mais ils exigent des calculs relativement plus complexes
et produisent un trafic plus étendu (comparativement aux algorithmes de
routage à vecteur de distance). Comparer avec algorithme de routage à vecteur de distance. Voir
aussi algorithme
de Dijkstra.
Classe d'algorithmes de
routage qui se basent sur le nombre de sauts dans une route pour trouver
l'algorithme " spanning tree " du plus court chemin. Les
algorithmes de routage à vecteur de distance demandent à chaque routeur
d'envoyer sa table de routage complète avec chaque mise à jour, mais
uniquement à ses voisins. Les algorithmes de routage à vecteur de distance
peuvent faire l'objet de boucles de routage, mais du point de vue du
traitement, ils sont plus simples que les algorithmes de routage à état de
liens. Aussi appelé algorithme de routage Bellman-Ford. Voir aussi algorithme de routage à état de liens et SPF.
Voir algorithme de routage à vecteur de
distance.
Voir SPF.
Voir MD5.
Voir entité.
Voir réservation de bande passante. (Amplitude
modulation) modulation d'amplitude. Technique
de modulation par laquelle les informations sont transmises à travers
l'amplitude du signal porteur. Comparer avec FM et PAM. Voir aussi modulation.
Voir ANSI.
Voir ASCII. (Alternate
mark inversion) inversion AMI. Type d'encodage de ligne
utilisé sur les circuits T1 et E1. Dans le cas de l'inversion AMI, le zéro
est représenté par 01 au cours de chaque cellule binaire et le un est
représenté par 11 ou 00 en alternance au cours de chaque cellule binaire. Le
dispositif émetteur doit maintenir la densité de uns pendant l'inversion AMI.
Celle-ci n'est pas distincte du flux de données. L'inversion AMI est
quelquefois nommée codage binaire à marque inversée alternée. Comparer
avec B8ZS.
Voir aussi densité
de uns.
Voir laser.
Valeur maximale de la forme
d'onde analogique ou numérique.
Voir analyseur réseau. Unité de surveillance du
réseau qui met à jour des données statistiques sur l'état du réseau et sur
chaque unité connectée. Des versions plus perfectionnées faisant appel à
l'intelligence artificielle peuvent détecter, définir et corriger les
problèmes survenant sur le réseau.
Voir SPAN.
Connexion de deux ou plusieurs
stations selon une topologie logique circulaire. Les informations sont
transmises de manière séquentielle entre les stations actives. Les réseaux
Token Ring, FDDI et CDDI reposent sur cette topologie. L'un des deux anneaux formant
un anneau FDDI ou CDDI. L'anneau primaire est la route utilisée par défaut
pour les transmissions de données. Comparer avec anneau secondaire. L'un des deux anneaux formant
un anneau FDDI ou CDDI. L'anneau secondaire est habituellement réservé en cas
de défaillance de l'anneau primaire. Comparer avec anneau primaire.
Architecture de réseau local
reposant sur une topologie en anneau dans laquelle l'anneau est divisé en
positions qui circulent continuellement. Les positions peuvent être vides ou
pleines et les transmissions doivent commencer au début d'une position.
Topologie de réseau dans
laquelle deux chemins de signalisation, dans des directions opposées,
existent dans un réseau à passage de jeton. Les réseaux FDDI et CDDI reposent
sur ce concept.
Entité d'un réseau de pontage
SRB qui relie, de façon logique, deux anneaux physiques ou plus, localement
ou à distance. Il est possible d'étendre le concept d'anneaux virtuels
au-delà des frontières des routeurs. Americain
National Standards Institute. Organisme non gouvernemental
composé de représentants des gouvernements, des entreprises et d'autres
membres qui coordonnent les activités liées à la normalisation, approuvent
les normes nationales américaines et établissent la position des États-Unis
dans les organismes de normalisation internationaux. L'ANSI aide à élaborer
les normes internationales et américaines ayant trait, entre autres, aux
communications et aux réseaux. L'ANSI est membre de l'IEC et de l'ISO. Voir
aussi IEC et ISO.
Voir X3T9.5.
Maintenant connue sous le nom
de télévision câblée. Voir CATV. (Automated
packet recognition/translation) reconnaissance / traduction automatique de
paquets. Technologie permettant à un serveur d'être
relié à une interface CDDI ou FDDI sans nécessiter de reconfiguration des
applications ou des protocoles de réseau. L'APaRT reconnaît les types de
paquets d'encapsulation particuliers à la couche liaison de données et,
lorsque ces types de paquets sont transférés d'un média à un autre, il les
traduit en format natif du dispositif de destination. (Application
programming interface) interface de programmation d'application.
Précision des conventions d'appel de fonction qui définissent une interface
dans le cas d'un service.
Voir TCS. Advanced Program-to-Program Communication. Logiciel
système SNA d'IBM qui permet la communication à haut débit entre des
programmes situés dans différents ordinateurs dans un environnement
informatique réparti. Ce type de communication établit et détruit des
connexions entre des programmes communicants. Elle comporte deux interfaces :
une interface de programmation et une interface d'échange de données. La
première répond aux demandes des programmes qui désirent communiquer et la
seconde établit les sessions entre les programmes. APPC s'exécute sur des
unités LU 6.2. Voir aussi LU 6.2.
Caractéristique permettant le
reroutage automatique des appels lorsqu'une ligne de jonction fait défaut.
Voir RPC.
Fonction prise en charge par
les routeurs Cisco, qui assure une protection contre les pannes de réseau
longue distance en permettant à l'administrateur réseau de configurer une
ligne série de secours par une connexion de commutation de circuits.
Série de protocoles de
communication conçus par Apple Computer. Il en existe actuellement deux
versions. 1re version : la plus ancienne version convient à un seul réseau
physique pouvant avoir seulement un numéro de réseau et exister uniquement
dans une zone. 2e version : la version plus récente convient à plusieurs
réseaux logiques sur un réseau physique unique et permet aux réseaux de se
trouver dans plus d'une zone. Voir aussi zone. Advanced peer to Peer Networking Amélioration apportée à
l'architecture SNA IBM d'origine. APPN établit la session entre deux
nœuds, effectue les calculs d'acheminement dynamiques et transparents et
établit l'ordre prioritaire du trafic APPC. Comparer avec APPN+.
Voir aussi APPC. APPN de deuxième génération
qui remplace l'algorithme de routage d'échange d'étiquette par le routage par
la source. Aussi nommé routage hautes performances. Voir aussi APPN.
Processus algorithmique
utilisé pour le routage du trafic qui produit des données en prenant pour
acquis que les conditions d'un réseau sont symétriques. Par exemple, si le
nœud A reçoit un paquet du nœud B par l'intermédiaire du nœud C, l'algorithme
de routage d'apprentissage amont supposera que A peut atteindre B de manière
optimale en passant par C. (AppleTalk
Remote Access) accès à distance AppleTalk. Protocole
qui fournit aux utilisateurs d'ordinateurs Macintosh un accès direct aux
informations et aux ressources à partir d'un site AppleTalk distant. Terme utilisé pour décrire les
réseaux d'informatique distribuée dans lesquels la responsabilité des
transactions est répartie entre deux unités : client (frontal) et serveur
(back end). Les deux termes (client et serveur) sont utilisés à la fois pour
le logiciel et le matériel. Également appelée informatique distribuée.
Comparer avec informatique
d'égal à égal. Voir aussi RPC.
Logiciel APPN qui permet à un
ordinateur configuré comme nœud d'extrémité APPN de trouver automatiquement
les nœuds réseau primaire et de secours lorsqu'il est connecté au réseau
APPN.
Voir ODA.
Voir DNA.
Voir EMA.
Voir NCIA.
Voir ISA.
Architecture permettant à des
développeurs tiers de créer des produits et pour laquelle il existe des
spécifications du domaine public. Attached Resource Computer Network. Réseau local
sur bus à jeton de 2,5 Mbits/s, développé entre la fin des années 1970 et le
début des années 1980 par Datapoint Corporation. (Asynchronous
response mode) mode de réponse asynchrone. Mode de
communication HDLC, comportant une station primaire et au moins une station
secondaire, dans lequel la station primaire ou l'une des stations secondaires
peut initier la transmission. Voir aussi station primaire et station secondaire. (Address
Resolution Protocol) protocole de résolution d'adresse.
Protocole Internet utilisé pour mapper une adresse IP à une adresse MAC.
Terme défini dans la RFC 826. Comparer avec RARP. Voir aussi proxy ARP. Protocole de résolution
d'adresse inverse. Méthode utilisée pour créer des routes dynamiques dans un
réseau. Permet à un serveur d'accès de découvrir l'adresse réseau d'une unité
associée à un circuit virtuel. Advanced Research Projects Agency. Organisme de
recherche et développement faisant partie du département de la Défense
américain. L'ARPA est à l'origine d'un grand nombre de progrès techniques en
matière de communication et de mise en réseau. L'ARPA s'est transformée en
DARPA, puis s'est transformée de nouveau en ARPA en 1994. Voir aussi DARPA. Advanced Research Projects Agency Network. Premier
réseau à commutation de paquets établi en 1969. ARPANET a été développé dans
les années 1970 par la BBN et a été subventionné par l'ARPA (puis par la
DARPA). L'évolution de ce réseau a donné naissance à Internet. Le terme
ARPANET a été officiellement supprimé en 1990. Voir aussi ARPA, BBN, DARPA et Internet. (Automatic
repeat request) requête répétée automatique. Technique
de communication selon laquelle le dispositif de réception détecte des
erreurs et demande des retransmissions.
Voir système autonome. (Autonomous
system boundary router) routeur de frontière de système autonome.
Routeur situé entre un système autonome à protocole OSPF et un réseau qui
n'utilise pas le protocole OSPF. Ces routeurs utilisent le protocole OSPF et
un autre protocole de routage, tel le protocole RIP. Les routeurs ASBR doivent
résider dans une zone de protocole OSPF. Voir aussi ABR, zone non d'extrémité et OSPF. American
Standard Code for Information Interchange. Code à 8
bits servant à représenter un caractère (7 bits plus un bit de parité)
Serveur de communications
multiprotocole de Cisco conçu pour connecter des dispositifs asynchrones à
tout réseau local ou longue distance à l'aide des protocoles TCP/IP, LAT ou
SLIP. Il peut être configuré pour être relié à un réseau local Ethernet ou
Token Ring, ou à des réseaux en série synchrones. (Abstract
Syntax Notation One) notation ISO de syntaxe abstraite ASN 1.
Langage OSI permettant de décrire des types de données indépendamment des
structures d'ordinateur particulières et des techniques de représentation.
Langage décrit par la norme internationale ISO 8824. Voir aussi BER
(règles d'encodage simple).
Voir PAD.
Voir ECMA. (Automatic spanning tree) Spanning Tree automatique. Fonction
compatible avec la résolution automatique de Spanning Tree dans des réseaux à
pontage SRB, qui fournit une voie unique pour les trames d'exploration de
Spanning Tree afin qu'elles aillent d'un nœud donné à un autre dans le
réseau. L'algorithme AST est basé sur la norme IEEE 802.1 Voir aussi IEEE 802.1 et SRB. Advanced Software Technology and Algorithms. Composant du
programme HPCC conçu pour développer des logiciels et des algorithmes pour
une mise en application sur des ordinateurs et des systèmes de communication
hautes performances. Voir aussi HPCC. (Asynchronous time-division multiplexing) multiplexage
temporel asynchrone. Méthode utilisée pour transmettre des informations qui
ressemble à du multiplexage temporel ordinaire, excepté que les intervalles
de temps sont attribués en fonction des besoins plutôt qu'assignés d'avance à
des émetteurs particuliers. Comparer avec FDM, multiplexage statistique et TDM. (Address
translation gateway) passerelle de traduction dynamique d'adresses.
Fonction du logiciel de routage DECnet de Cisco qui permet à un routeur de
router plusieurs réseaux DECnet indépendants et d'établir une traduction
d'adresse particulière au client dans le cas de nœuds sélectionnés entre les
réseaux. (Asynchronous
Transfer Mode) mode de transfert asynchrone. Norme
internationale de relais de cellules selon laquelle divers types de services
(tels que des signaux vocaux, vidéo ou de données) sont acheminés dans des
cellules de longueur fixe (53 octets). Les cellules de longueur fixe
permettent au traitement d'avoir lieu au niveau matériel, réduisant ainsi les
délais d'acheminement. Le mode ATM est conçu pour tirer parti des médias de
transmission à haut débit, tels que E3, SONET et T3.
Organisme international fondé
en 1991 par Cisco Systems conjointement avec NET/ADAPTIVE, Northern Telecom
et Sprint qui développe et favorise des ententes de mise en œuvre basées sur
les normes de la technologie ATM. L'ATM Forum parfait des normes officielles
développées par l'ANSI et l'UIT-T, et élabore des ententes de mise en œuvre
avant la mise en application des normes officielles.
Voir UNI. (ATM management) supervision ATM. Processus qui
fonctionne sur un commutateur ATM ; il commande la traduction VCI ainsi que
la mise en forme et l'imposition de débit. Voir aussi ATM et VCI. (AppleTalk
Echo Protocol) protocole de transaction AppleTalk.
Protocole de niveau transport qui permet un échange demande-réponse fiable
entre des clients qui utilisent deux ports.
Attache de plastique utilisée
pour tenir les câbles ensemble ou pour les assujettir.
Voir ARCnet.
Topologie de réseau dans laquelle une unité est
connectée au réseau par deux points d'accès indépendants (points de
connexion). Un de ces points d'accès est la connexion principale et l'autre
est une connexion de secours activée en cas de défaillance de la connexion
principale.
Perte d'énergie du signal de
communication.
Données de configuration qui
définissent les caractéristiques des objets d'une base de données, tels que
les boîtiers, les cartes, les ports ou les circuits virtuels d'une unité
particulière. Les attributs peuvent être programmés à l'avance ou par
l'utilisateur. Dans le cas d'un commutateur ATM LightStream 2020, les
attributs sont programmés à l'aide du programme de configuration ou des
commandes CLI. (Attachment
unit interface) cordon AUI. Interface IEEE 802.3 entre
une unité MAU et une carte réseau. Le terme AUI peut aussi renvoyer au port
situé sur le panneau arrière auquel un cordon AUI peut se brancher, tel que
celui que l'on retrouve sur une carte d'accès Ethernet LightStream de Cisco.
Aussi nommé câble émetteur-récepteur. Voir aussi IEEE 802.3, MAU et NIC
(carte réseau). (AppleTalk
Update-Based Routing Protocol) protocole de routage AppleTalk.
Méthode d'encapsulation du trafic AppleTalk dans l'en-tête d'un protocole
étranger, ce qui permet la connexion de deux interréseaux AppleTalk non
contigus à travers un réseau étranger (comme TCP/IP) pour former un réseau
longue distance AppleTalk. Cette connexion se nomme tunnel AURP. En plus de
sa fonction d'encapsulation, le protocole de routage AppleTalk maintient les
tables de routage pour tout le réseau longue distance AppleTalk en échangeant
des informations de routage entre les routeurs externes. Voir aussi tunnel AURP et routeur externe.
Service propre au pont
auto-adaptatif qui assure le stockage de l'adresse MAC source de chaque
paquet reçu afin que les futurs paquets destinés à cette adresse soient
acheminés seulement à l'interface du pont où est située cette adresse. Les
paquets destinés à des adresses non reconnues sont acheminés hors de chaque
interface du pont. Cette méthode aide à réduire le trafic sur les réseaux locaux
reliés. L'auto-apprentissage d'adresse MAC est défini dans la norme IEEE
802.1. Voir aussi pont
auto-adaptatif et adresse MAC.
Voir PABX.
Caractéristique des routeurs
Cisco qui fournit un traitement de paquets plus rapide en permettant au
ciscoBus de commuter les paquets indépendamment sans interrompre le
processeur de système.
Voir bus. |