Internet Architecture Board. Comité de
chercheurs en interconnexion de réseaux qui examinent les questions relatives
à l'architecture Internet. Responsable de la nomination de divers groupes
liés au réseau Internet tels que IANA, IESG et IRSG. L'IAB est nommé par les
administrateurs de l'ISOC. Voir aussi IANA, IESG, IRSG et ISOC. Internet Assigned Numbers Authority. Organisme
travaillant sous les auspices de l'ISOC et dans le cadre de l'IAB. L'IANA
délègue son autorité pour ce qui est de l'allocation des espaces d'adresses
IP et des noms de domaines au centre d'information réseau et à d'autres
organismes. L'IANA tient également à jour une base de données renfermant les
identificateurs de protocoles assignés, utilisés dans la pile TCP/IP, dont
les numéros de systèmes autonomes. Voir aussi IAB, ISOC et NIC. Répartiteur intermédiaire qui
connecte le câble d'interconnexion horizontal au câble d'interconnexion
principal. Voir HCC. Voir aussi MCC. (International
Code Designator) indicateur de code international. L'un
des deux formats d'adresse ATM développés par l'ATM Forum à l'intention des
réseaux privés. Adapté du modèle de sous-réseau d'adressage selon lequel la
couche ATM a pour rôle d'établir la correspondance des adresses de couche
réseau et des adresses ATM. Voir aussi DCC. (Internet
Control Message Protocol) protocole ICMP. Protocole Internet
de couche réseau qui signale les erreurs et fournit d'autres informations
liées au traitement des paquets IP. Documenté dans RFC 792.
Voir LCI.
Chaîne de texte servant de mot
de passe, utilisée pour valider les messages acheminés entre un poste
d'administration et un routeur contenant un agent SNMP. L'identifiant de
communauté est intégré à chaque paquet acheminé entre l'administrateur et
l'agent.
Voir RII.
Voir IDI.
Voir OUI.
Voir VCI.
Voir VPI.
Voir VPI/VCI.
Voir DLCI.
Voir XID.
Champ d'un datagramme IP qui
fournit une fragmentation des datagrammes, afin de permettre de différer les
unités de transfert d'information maximale sur Internet. (Intermediate
Distribution Facility) répartiteur intermédiaire IDF. Salle
de communications secondaire dans un immeuble comportant une topologie réseau
en étoile. Le répartiteur intermédiaire IDF dépend du répartiteur principal
MDF. Voir aussi MDF (Initial
Domain Identifier) identificateur de domaine initial.
Dans le modèle OSI, il s'agit de la portion du NSAP qui spécifie le domaine.
Numéro de donnée
international. Voir X.121. (Initial
Domain Part) portion du
domaine initial. Partie d'une adresse de service réseau non orienté connexion
qui contient une autorité, un identificateur de format et un identificateur
de domaine. (Interdomain
Policy Routing) politique de routage interdomaine.
Protocole de routage interdomaine qui échange, de façon dynamique, des politiques
entre divers systèmes autonomes. Le protocole IDPR encapsule le trafic de
systèmes interautonomes et l'achemine en fonction des politiques de chacun
des systèmes autonomes situés sur le parcours. Pour le moment, le protocole
IDPR est un protocole du groupe IETF, à l'état de proposition. Voir aussi politique de routage. Protocole de routage
interdomaine ISIS. Protocole OSI qui précise comment des routeurs
communiquent avec les routeurs d'autres domaines. (International
Electrotechnical Commission) Commission électrotechnique
internationale. Groupe de l'industrie qui rédige et distribue des normes
relatives aux produits et composants électriques.
Voir IEEE. Institute of Electrical and Electronics Engineers. Organisme
professionnel dont les activités incluent le développement de normes
relatives aux communications et aux réseaux. Les normes IEEE pour réseau
local sont celles qui prédominent aujourd'hui dans ce domaine. Spécification IEEE qui décrit un algorithme permettant d'empêcher la formation de boucles de pontage, grâce à la création d'un Spanning Tree. L'algorithme a été inventé par Digital Equipment Corporation. L'algorithme de Digital et l'algorithme IEEE 802.1 ne sont pas tout à fait identiques et ils ne sont pas compatibles. Voir aussi Spanning Tree, algorithme " spanning tree " et protocole " spanning tree ". Norme IEEE pour réseaux locaux
qui spécifie la couche physique et la sous-couche MAC de la couche liaison de
données. La norme IEEE 802.12 utilise le mécanisme de demande de priorité
pour l'accès aux médias à 100 Mbits/s, pour une variété de médias physiques.
Voir aussi 100VG-AnyLAN.
Protocole IEEE pour réseaux
locaux qui spécifie une implantation de la sous-couche de procédure LLC de la
couche liaison de données. Le protocole IEEE 802.2 traite les erreurs, le
verrouillage de trame, le contrôle de flux et l'interface de service de la
couche réseau (couche 3). Utilisé dans les réseaux LAN IEEE 802.3 et IEEE
802.5. Voir aussi IEEE
802.3 et IEEE 802.5. Protocole IEEE pour réseaux
LAN qui spécifie une implantation de la couche physique et de la sous-couche
MAC de la couche liaison de données. IEEE 802.3 utilise l'accès CSMA/CD à
diverses vitesses avec divers médias physiques. Les extensions à la norme
IEEE 802.3 spécifient des mises en œuvre pour Fast Ethernet. Voici quelques
variations physiques de la norme IEEE 802.3 d'origine : 10BASE2, 10BASE5, 10BASEF, 10BASE-T et 10Broad36.
Voici quelques variations physiques pour Fast Ethernet : 100BASE-T, 100BASE-T4 et 100BASEX. Variation physique de la
spécification IEEE 802.3 d'origine qui demande l'utilisation d'une
signalisation de type Ethernet avec des médias de mise en réseau à paires
torsadées. La norme établit la vitesse de signalisation à 10 mégabits par
seconde, selon un schéma de signalisation dans la bande de base transmis par
un câble à paire torsadée utilisant une topologie en étoile étendue. Voir 10BASE2, 10BASE5, 10BASEF, 10BASE-T et 10Broad36. Protocole IEEE pour réseaux
LAN qui spécifie une implantation de la couche physique et de la sous-couche
MAC de la couche liaison de données. La norme IEEE 802.4 utilise le passage
de jeton dans une topologie en bus et est basée sur l'architecture LAN en bus
à jeton. Voir aussi bus à
jeton. Protocole IEEE pour réseaux
locaux qui spécifie une implantation de la couche physique et de la
sous-couche MAC de la couche liaison de données. La norme IEEE 802.5 utilise
le passage de jeton à un débit de 4 ou 16 Mbits/s par des câbles à paires
torsadées blindées et est semblable au réseau Token Ring d'IBM. Voir aussi Token Ring.
Norme IEEE MAN basée sur la
technologie de bus DQDB. La norme IEEE 802.6 supporte un débit de données de
1,5 à 155 Mbits/s. Voir aussi DQDB. (Internet Engineering Steering Group) groupe IESG. Organisme
nommé par l'IAB, qui gère les activités de l'IETF. Voir aussi IAB et IETF. (Internet Engineering Task Force) groupe IETF. Groupe
de travail constitué de plus de 80 groupes se consacrant au développement des
normes Internet. L'IETF exerce ses activités sous les auspices de l'ISOC.
Voir aussi ISOC. (International
Federation for Information Processing) Fédération
internationale pour le traitement de l'information. Organisme de recherche
s'occupant des travaux de prénormalisation OSI. Parmi ses réalisations,
l'IFIP peut compter l'officialisation du modèle MHS d'origine. Voir aussi MHS. (Internet
Group Management Protocol) protocole IGMP. Utilisé par
les hôtes IP pour indiquer les membres de leurs groupes de multicast à un
routeur multipoint. Voir aussi routeur multipoint. (Interior Gateway Protocol) protocole IGP. Protocole
Internet utilisé pour l'échange d'informations de routage à l'intérieur d'un
système autonome. Exemples de protocoles IGP Internet communs : IGRP, OSPF et
RIP. Voir aussi IGRP, OSPF et RIP. (Interior Gateway Routing Protocol) protocole IGRP. Le
protocole IGRP a été développé par Cisco pour résoudre les problèmes associés
au routage dans des réseaux hétérogènes étendus. Comparer avec Enhanced IGRP.
Voir aussi IGP, OSPF et RIP. IS-IS Hello. Message envoyé par tous les systèmes
IS-IS afin de maintenir les contiguïtés. Voir aussi IS-IS. Information Infrastructure
Technology and Applications. Composante du programme HPCC visant à assurer le
leadership des États-Unis dans le développement des technologies de
l'information avancées. Voir aussi HPCC. (Interim
Local Management Interface) interface ILMI. Spécification
développée par l'ATM Forum pour l'incorporation de fonctions de gestion de
réseau dans l'interface UNI ATM. (Interface
message processor) processeur IMP. Ancienne appellation
donnée aux commutateurs de paquets ARPANET. Le processeur IMP porte
maintenant le nom de nœud de commutation de paquets (PSN). Voir aussi PSN
(nœud de commutation de paquets).
Voir EMP.
Voir ICD.
Voir FID0.
Voir FID1.
Voir FID2.
Voir FID3.
Voir FID4.
Voir IITA. L'informatique d'égal à égal
exige que chaque unité réseau exécute les portions client et serveur d'une
application. Désigne également la communication entre les mises en œuvre de
la même couche du modèle de référence OSI dans deux unités réseau
différentes. Comparer avec architecture client-serveur.
Voir architecture client-serveur.
Ondes électromagnétiques dont
la gamme de fréquences se situe au-dessus de celle des micro-ondes, mais
en-dessous de celle de la région visible du spectre. Les systèmes de réseau
local basés sur cette technologie constituent une technologie émergente.
Dispositif servant à mesurer
l'atténuation d'un signal dans un réseau. (Internet
Network Operations Center) centre INOC. Groupe de Bolt,
Beranek and Newman, Inc. qui, au tout début du réseau Internet, surveillait
et contrôlait les passerelles principales (routeurs). Le centre INOC n'existe
plus sous cette forme. Technique d'acheminement du
trafic utilisée par les commutateurs et les ponts, selon laquelle le trafic
reçu par une interface est envoyé à toutes les autres interfaces de l'unité,
à l'exception de celle qui a servi à la réception des informations.
Voir OIR.
Voir ETSI. Protocole de routage reposant
sur le protocole de routage IS-IS du modèle OSI, mais qui accepte aussi le
protocole IP et d'autres protocoles. Une implantation Integrated IS-IS envoie
un seul ensemble de mises à jour du routage, ce qui la rend plus efficace que
deux implantations distinctes. Anciennement connu sous le nom de Dual
IS-IS. Comparer avec IS-IS.
Terme général désignant
l'industrie née du problème posé par la connexion de divers réseaux. Le terme
peut faire référence à des produits, à des procédures et à des technologies.
Voir SNI.
Voir OSI.
Voir HCC.
Voir MCC.
Voir NTRI.
1.) Connexion entre deux
systèmes ou unités.
Voir DS-1/DTI.
Voir BIGA.
Voir CLI.
Voir HSCI.
Voir MCI.
Voir ECC.
Voir LINF.
Voir NNI.
Voir CPI-C.
Voir API.
Voir NNI.
Voir LMI.
Voir DXI.
Voir FDDI.
Voir GUI.
Voir ILMI.
Voir MQI.
Voir ODI.
Voir HIPPI.
Frontière entre le réseau d'un
télécommunicateur et des installations privées.
Voir HSSI.
Voir SNI.
Voir UNI.
Bruits parasites dans une voie
de communication.
Voir RFI.
Voir EMI.
Voir IS-IS. Terme utilisé pour parler du
plus grand interréseau mondial qui relie des dizaines de milliers de réseaux
partout dans le monde, dont la " culture " est axée sur une
recherche et une normalisation reposant sur une utilisation dans le monde réel.
De nombreuses technologies de réseau pointues viennent de la collectivité
Internet. Internet a évolué en partie à partir du réseau ARPANET. A déjà
porté le nom de DARPA Internet. À ne pas confondre avec le terme
général anglais internet. Voir aussi ARPANET.
Forme abrégée d'interréseau.
N'est pas utilisée en français dans ce sens. À ne pas confondre avec le terme
Internet. Voir interréseau.
Voir IAB.
Voir IANA.
Voir IESG.
Voir IETF.
Voir INOC.
Voir IRSG.
Voir IRTF.
Voir ISOC. Organisme au service de la collectivité Internet,
qui fournit aux utilisateurs de l'assistance, de la documentation, de la
formation, un service d'enregistrement des noms de domaines pour Internet
ainsi que d'autres services. Anciennement connu sous le nom de centre
d'information réseau.
Capacité des équipements
informatiques fabriqués par des fournisseurs différents de communiquer entre
eux en réseau. Groupe de réseaux interreliés
par des routeurs ainsi que d'autres unités, qui fonctionne (habituellement)
en tant que réseau unique. Parfois appelé un internet en anglais ; à
ne pas confondre avec Internet.
Voir VLI.
Méthode d'accès selon laquelle
une unité réseau primaire demande aux unités secondaires, dans un ordre
préétabli, si elles ont des données à transmettre. L'interrogation prend la
forme d'un message à chaque unité secondaire invitant celle-ci à transmettre. Technique qui atténue la
charge dans un réseau SDLC en permettant aux routeurs d'agir comme
mandataires des nœuds primaires et secondaires, afin de maintenir le trafic
d'interrogation à l'extérieur des liaisons partagées. L'interrogation proxy a
été remplacée par le transport SDLC. Voir transport SDLC.
Voir ISSI.
Temps s'écoulant entre chaque
message de test d'activité envoyé par une unité du réseau.
Voir plate-forme logicielle IOS Cisco. protocole IP. Protocole de couche réseau de la
pile TCP/IP, offrant un service d'interréseau non orienté connexion. Le
protocole IP offre des fonctions d'adressage, de spécification des types de
services, de fragmentation et de réassemblage, ainsi que de sécurité.
Documenté dans RFC 791.
Commande qui relie une liste
d'accès existante à une interface de sortie.
Commande utilisée pour établir l'adresse réseau logique de cette
interface. Voir aussi IP et masque de sous-réseau. Norme d'exécution du protocole
IP sur ATM afin de bénéficier au maximum des fonctions d'ATM. Définie dans la
RFC 1577. Parfois appelée CIA. Commande utilisée pour
enregistrer une entrée nom-à-adresse statique dans le fichier de
configuration du routeur. Commande utilisée pour définir
quels hôtes peuvent fournir le service de noms.
Voir VIP. Option de sécurité IP.
Spécification du gouvernement américain concernant un champ optionnel de
l'en-tête de paquet IP, qui définit les niveaux hiérarchiques de sécurité des
paquets par interface. (Internetwork
Packet Exchange) protocole IPX. Protocole NetWare de
couche réseau (couche 3), utilisé pour transférer des données des serveurs
aux postes de travail. IPX est semblable à IP et à XNS.
Protocole qui négocie les
options de bout en bout pour les nouvelles liaisons. Lorsqu'une liaison se présente,
les premiers paquets IPX envoyés sont des paquets IPXWAN qui s'occupent de
négocier les options pour la liaison. Lorsque les options IPXWAN ont été
déterminées, une transmission IPX normale est lancée. Défini par RFC 1362. (ICMP Router Discovery Protocol) protocole IRDP. Permet
à un ordinateur hôte de déterminer l'adresse d'un routeur qu'il peut utiliser
comme passerelle par défaut. Semblable au protocole ESIS, mais utilisé avec
IP. Voir aussi ES-IS. (Intermediate
Routing Node) nœud de routage intermédiaire. En
termes SNA, nœud de sous-zone doté de fonctions de routage intermédiaire. (Internet Research Steering Group) groupe IRSG. Groupe
faisant partie de l'Internet Architecture Board et qui supervise les
activités de l'Internet Research Task Force. Voir aussi IAB et IRTF. (Internet Research Task Force) groupe IRTF. Collectivité
d'experts en réseau qui se penchent sur des sujets de recherche liés à
Internet. Le groupe IRTF est contrôlé par l'Internet Research Steering Group
et est considéré comme étant une filiale de l'Internet Architecture Board.
Voir aussi IAB et IRSG. (Intermediate
system) système intermédiaire. Nœud de
routage dans un réseau OSI. (Industry-Standard Architecture) architecture ISA. Bus
de 16 bits utilisé dans les ordinateurs personnels dotés d'un processeur
Intel. Voir aussi EISA. (Intermediate System-to-Intermediate System) protocole IS-IS. Protocole
de routage hiérarchique OSI à état de liens, reposant sur le routage DECnet
Phase V selon lequel les systèmes intermédiaires (routeurs) échangent des
informations de routage basées sur une seule métrique permettant de déterminer
la topologie du réseau. Comparer avec Integrated IS-IS. Voir
aussi ES-IS et OSPF.
Voir IIH. Organisation internationale de
normalisation. Organisme international responsable d'un grand éventail de
normes, dont celles qui s'appliquent aux réseaux. L'ISO a développé le modèle
de référence OSI, largement répandu dans le domaine des réseaux.
Procédures HDLC développées
par l'ISO. L'ISO 3309:1979 spécifie la structure de trame HDLC qui doit être
utilisée dans les environnements synchrones. L'ISO 3309:1984 spécifie les
modifications proposées qui permettent d'utiliser le protocole HDLC dans des
environnements asynchrones également.
Ensemble de normes
internationales de gestion de la qualité définies par l'ISO. Les normes, qui
ne sont spécifiques à aucun pays, industrie ou produit, permettent aux
entreprises de démontrer qu'elles ont mis en place des processus précis
visant à maintenir un système de qualité efficace. Internet Society. Organisme
international à but non lucratif, fondé en 1992, qui coordonne l'évolution et
l'utilisation du réseau Internet. De plus, l'ISOC partage son autorité avec
d'autres groupes liés à Internet, tels que l'Internet Architecture Board. Le siège
social de l'ISOC est situé à Reston en Virginie, aux États-Unis. Voir aussi IAB. Environnement de développement
OSI. Ensemble volumineux de bibliothèques et d'utilitaires utilisé pour
développer des protocoles et applications pour la couche supérieure du modèle
OSI. Tout matériau offrant une très
grande résistance au courant électrique. Voir conducteur. (Intermediate
Session Routing) routage de session intermédiaire.
Algorithme de routage initial, utilisé en APPN. Le routage de session
intermédiaire fournit un routage nœud-à-nœud orienté connexion. Les pannes de
réseau entraînent la coupure des sessions car l'algorithme de routage de
session intermédiaire ne peut fournir un reroutage sans interruption pouvant
contourner une panne. L'algorithme de routage de session intermédiaire a été
remplacé par le routage hautes performances. Comparer avec HPR.
Voir aussi APPN.
(Inter-Switching System Interface) interface ISSI. Interface
standard utilisée entre des commutateurs SMDS. |