Media Access Control. Sous-couche
inférieure de la couche liaison de données définie par l'IEEE. La sous-couche
MAC gère l'accès à l'environnement à média partagé ; par exemple, il
détermine si le passage de jeton ou le conflit sera utilisé. Voir aussi couche liaison de données et LLC.
Protocole de couche réseau
encapsulant des paquets IP dans DDS ou sur une transmission sur AppleTalk.
MacIP fournit également des services proxy ARP. Terme décrivant un réseau dans
lequel les unités sont organisées selon une topologie maillée, où chaque nœud
réseau est connecté à chacun des autres nœuds du réseau par un circuit
physique ou virtuel. Le maillage global assure une redondance importante.
Mais sa mise en œuvre étant très coûteuse, il est habituellement réservé aux
réseaux fédérateurs. Voir aussi maille et maillage partiel. Terme désignant un réseau dans
lequel les unités sont organisées selon une topologie maillée, certains nœuds
du réseau étant organisés suivant un maillage global alors que d'autres ne
sont connectés qu'à un ou deux autres nœuds du réseau. Le maillage partiel ne
procure pas le niveau de redondance d'une topologie complètement maillée, mais
il est moins coûteux à mettre en œuvre. Les topologies à maillage partiel
sont généralement utilisées dans les réseaux périphériques connectés à un
réseau fédérateur complètement maillé. Voir aussi maillage global et maille. Topologie réseau dans laquelle
les unités sont organisées en segments faciles à gérer et de nombreuses
interconnexions, souvent redondantes, sont placées de façon stratégique entre
les nœuds du réseau. Voir aussi maillage global et maillage partiel. (Metropolitan-area
network) réseau métropolitain. Réseau s'étendant sur une
région métropolitaine. Généralement, un réseau métropolitain s'étend sur une
région géographique plus vaste que celle d'un réseau local, mais plus petite
que celle d'un réseau longue distance. Comparer avec LAN et WAN. (Manufacturing
Automation Protocol) protocole de fabrication automatisé.
Architecture réseau créée par General Motors pour répondre aux besoins précis
de son milieu industriel. Le protocole MAP spécifie un réseau local à passage
de jeton similaire à la norme IEEE 802.4. Voir aussi IEEE 802.4. Technique permettant à
différents protocoles d'interopérer en traduisant les adresses d'un format à
un autre. Par exemple, lors du routage du protocole IP dans un réseau X.25,
les adresses IP doivent être mappées aux adresses X.25 afin que les paquets
IP puissent être transmis par le réseau X.25. Voir aussi résolution d'adresse.
Outil ressemblant à une
perceuse électrique surdimensionnée utilisée pour faire des trous dans la
maçonnerie. Il tourne la mèche et martèle simultanément.
Voir masque d'adresse et masque de sous-réseau.
Quantité de 32 bits utilisée
avec une adresse IP pour déterminer quels bits de cette adresse IP ne doivent
pas être pris en compte lorsqu'on la compare à une autre adresse IP. Un
masque avec caractère de remplacement est utilisé lors de l'établissement de
listes d'accès. Combinaison de bits utilisée
pour décrire la portion d'une adresse qui désigne le réseau ou le sous-réseau
et la portion qui désigne l'hôte. Parfois simplement appelé masque.
Voir aussi masque
de sous-réseau. Masque d'adresse de 32 bits,
utilisé en IP pour indiquer les bits d'une adresse IP servant à désigner le
sous-réseau. Parfois simplement appelé masque. Voir aussi masque d'adresse et adresse IP.
Voir VLSM. (Media
attachment unit) unité MAU. Unité utilisée dans les
réseaux Ethernet et IEEE 802.3, qui fournit l'interface entre le port AUI
d'une station et le média commun du réseau Ethernet. L'unité MAU, qui peut
être intégrée à une station ou être une unité distincte, assure certaines
fonctions au niveau de la couche physique, y compris la conversion de données
numériques de l'interface Ethernet, la détection de collisions et l'injection
de bits dans le réseau. Parfois appelée unité d'accès au média,
abrégée en MAU, ou émetteur-récepteur. Dans un réseau Token
Ring, une unité MAU est aussi appelée unité d'accès multistation,
abrégée en MSAU, pour éviter toute confusion. Voir aussi AUI et MSAU.
Mégabit.
Mégabits par seconde. (Multicast
backbone) réseau fédérateur multipoint. Le réseau
fédérateur multipoint d'Internet. MBONE est un réseau virtuel de diffusion
multicast composé de réseaux locaux multipoint et de tunnels point-à-point
assurant leur interconnexion. (Micro
channel architecture) bus canal micro. Interface
de bus utilisée couramment sur les PC et sur certains serveurs et postes de
travail UNIX. (Main
cross-connect) interconnexion principale. Local
technique servant de point central dans une topologie en étoile et où le
câblage du réseau local fédérateur assure la connexion à Internet. (Multiport
Communications Interface) interface de communications multiports.
Carte de l'AGS+ comportant deux interfaces Ethernet et jusqu'à deux
interfaces série synchrones. La carte d'interface de communications multiports
assure un traitement rapide des paquets, sans les délais intertrames
caractéristiques des autres interfaces Ethernet. (Minimum cell
rate) débit minimum garanti. Paramètre défini par l'ATM
Forum pour la gestion du trafic ATM. Le débit minimum garanti n'est défini
que pour les transmissions à débit disponible ATM et indique la valeur
minimale du débit de cellules autorisé. Voir aussi ABR
(débit disponible ATM), ACR et PCR. (Message
Digest 5) algorithme MD5. Algorithme utilisé pour
l'authentification de messages par le protocole SNMP version 2. L'algorithme
MD5 vérifie l'intégrité de la communication, en authentifie l'origine et
vérifie si les données sont actualisées. Voir aussi SNMP2. (Main
distribution facility) répartiteur principal. Local
principal réservé aux communications dans un immeuble. Dans une topologie en
étoile, point central où se trouvent les tableaux de connexions, le
concentrateur et le routeur. Voir aussi IDF
Méthode d'accès au média
employée dans un réseau 100VG-AnyLAN utilisant un concentrateur qui peut
traiter de multiples demandes de transmission et gérer le trafic selon les
priorités, ce qui s'avère utile pour le trafic à délai de livraison critique,
comme le multimédia et la vidéo. Le mécanisme de demande de priorité élimine
la surcharge due aux collisions de paquets, à la reprise sur collision et au
trafic de messages de broadcast typique des réseaux Ethernet. Voir aussi 100VG-AnyLAN.
Voir médias.
Voir MAC.
Voir médias. Pluriel de média. Les
divers environnements physiques par lesquels passent les signaux de transmission.
Les médias réseau couramment utilisés comprennent la paire torsadée, le câble
coaxial, le câble à fibre optique et l'atmosphère (où se produit la
transmission par micro-ondes, laser ou infrarouge). Parfois appelés médias
physiques.
Abrégé en Mbit.
Abrégé en Mbits/s.
Abrégé en Mo.
Voir RAM.
Mémoire dans laquelle la
position d'une donnée est déterminée par son contenu et non par une adresse.
Parfois nommée mémoire adressable par le contenu.
Technologie développée par
Intel et offerte à d'autres constructeurs de semi-conducteurs sous licence.
La mémoire flash est une mémoire rémanente qui peut être effacée et
reprogrammée électriquement. Permet de stocker, de lancer et de réécrire, au
besoin, des images logicielles.
Voir ROM.
Voir EPROM.
Voir PROM.
Voir mémoire PROM bootable.
Voir NVRAM.
Mémoire à laquelle accède un
programme pendant son exécution. Sur un commutateur ATM LightStream 2020,
cette mémoire contient des données de configuration auxquelles le commutateur
accède pendant qu'il fonctionne. Mémoire morte
programmable bootable. Puce montée sur une carte de
circuits imprimés utilisée pour fournir des instructions d'amorçage à un
dispositif informatique.
Voir EEPROM.
Voir DRAM. Regroupement logique de
données au niveau de la couche 7 (application), souvent composé d'un certain
nombre de groupes logiques de couches inférieures, par exemple des paquets.
Les termes datagramme, trame, paquet et segment sont
aussi utilisés pour décrire des regroupements logiques de données sur
différentes couches du modèle de référence OSI et dans divers cercles
technologiques.
Fonction permettant à un
routeur Cisco qui reçoit un message de broadcast destiné à tous les postes
sur une ligne multipoint virtuelle de diffuser ce message à chaque ligne SDLC
faisant partie de la ligne multipoint virtuelle.
Processus de routeur dans
lequel le routage ou les mises à jour de service sont transmis à intervalles
particuliers afin que les autres routeurs du réseau puissent maintenir une
liste de routes utilisables.
Message envoyé par une unité
du réseau à une autre pour lui indiquer que le circuit virtuel existant entre
les deux est toujours actif. Application réseau largement
utilisée grâce à laquelle des messages sont transmis électroniquement entre
des utilisateurs finals dans divers types de réseaux utilisant différents
protocoles réseau. Également appelé courrier électronique.
Voir RTT.
Processus s'exécutant au
niveau de la couche ATM qui gère les types de signalisation et les circuits
virtuels.
1.) En règle générale,
la méthode utilisée par l'équipement de réseau pour accéder au média du
réseau.
Voir VTAM.
Technique utilisée par le
commutateur ATM LightStream 2020 pour conserver le verrouillage de trame dans
certaines interfaces latérales ou de ligne réseau à débit moyen.
Voir métrique de routage.
Problème qui peut survenir
dans les algorithmes de routage à convergence lente, dans lequel les routeurs
incrémentent sans cesse le nombre de sauts vers des réseaux donnés.
Généralement, une limite arbitraire de nombre de sauts est imposée pour
éviter ce problème. Méthode par laquelle un
algorithme de routage détermine qu'une route est meilleure qu'une autre. Ces
informations sont stockées dans des tables de routage. La métrique tient
compte de la largeur de bande, du coût de communication, du délai, du nombre
de sauts, de la charge, de l'unité de transfert d'information maximale (MTU),
du coût de route et de la fiabilité. Parfois simplement appelé métrique.
Voir aussi coût.
Routeur multiprotocole de
milieu de gamme de Cisco, conçu pour les environnements régionaux de taille
petite à moyenne. Doté de quatre emplacements, le routeur MGS peut prendre en
charge jusqu'à 11 interfaces de types différents. (Message
handling system) système de gestion des messages.
Recommandations X.400 de l'UIT-T fournissant des services de gestion de
messages pour les communications entre des applications réparties. NetWare
MHS est une entité différente (bien que similaire) offrant également des
services de gestion de messages. Voir aussi IFIP. (Management
Information Base) base d'informations de management.
Base de données sur la gestion du réseau utilisée et mise à jour par un
protocole de gestion de réseau, par exemple SNMP ou CMIP. La valeur d'un
objet MIB peut être modifiée ou récupérée à l'aide de commandes SNMP ou CMIP.
Les objets de la base MIB sont organisés selon une structure arborescente
comportant des branches publiques (standard) et privées (propriétaires). (Media
interface connector) connecteur d'interface média.
Connecteur standard de facto pour les réseaux FDDI.
Couche de traduction entre les
instructions machine et les opérations élémentaires d'un ordinateur. Le
microcode est stocké dans la mémoire morte et permet d'ajouter de nouvelles
instructions machine sans qu'il soit nécessaire de les intégrer dans les
circuits électroniques. Unité de mesure égale à un
millionième d'un mètre ou à un millième de millimètre. Le symbole µ est
parfois utilisé au lieu du mot micron.
Ondes électromagnétiques
variant de 1 à 30 gigahertz (GHz). La technologie évolutive des réseaux à
micro-ondes devient de plus en plus populaire en raison de sa large bande
passante et de son coût relativement peu élevé.
Division d'un réseau en
segments plus petits, généralement dans le but d'augmenter la bande passante
globale pour les unités réseau.
Voir MIPS. (Military
Network) réseau militaire américain. Partie non
confidentielle du Defense Data Network (DDN). L'exploitation et la
maintenance de ce réseau sont assurées par la Defense Information Systems
Agency (DISA). Voir aussi DDN et DISA.
Voir DoD. (MultiChanel
Interface Processor) processeur d'interface multicanaux.
Processeur d'interface des routeurs Cisco 7000 comportant jusqu'à deux
connexions T1 ou EI fractionnées par l'intermédiaire de câbles série reliés à
une unité CSU. Chacun des deux contrôleurs dont est pourvu le processeur
d'interface multicanaux peut comprendre jusqu'à 24 groupes primaires T1 ou 30
groupes primaires E1, chacun de ces groupes étant présenté comme une
interface série pouvant être configurée séparément. millions
d'instructions par seconde. Nombre d'instructions par
seconde exécutées par un processeur.
Voir LSA. Message envoyé par un routeur
pour indiquer l'accessibilité réseau et les coûts associés. Les mises à jour
du routage sont habituellement envoyées à des intervalles réguliers et après
un changement dans la topologie du réseau. Comparer avec mise à jour rapide. Mise à jour du routage envoyée
de manière asynchrone en réponse à un changement topologique. Comparer avec mise à jour du routage.
Point de contact
électriquement neutre.
Point de référence utilisé par
des dispositifs informatiques pour mesurer et comparer les signaux numériques
entrants.
Méthode de contrôle de la
redistribution des routes entre des domaines de routage.
Fonction de routage selon
laquelle les trames dans la file d'attente d'une interface sont mises en
priorité selon diverses caractéristiques, comme la taille de paquet et le
type d'interface.
Voir formatage du trafic.
Voir réglementation du trafic.
Connexion d'un ensemble
d'ordinateurs, d'imprimantes, de routeurs, de commutateurs et d'autres
périphériques en vue de les faire communiquer par un support de transmission.
Technique de routage qui
empêche les informations sur les routes de quitter l'interface du routeur par
laquelle elles ont été reçues. Les mises à jour " split-horizon "
sont utiles pour empêcher les boucles de routage.
Mises à jour du routage qui
indiquent de manière explicite qu'un réseau ou un sous-réseau n'est pas
accessible, plutôt que de laisser supposer qu'un réseau n'est pas accessible
en ne l'incluant pas dans la mise à jour. Les mises à jour en mode "
poison reverse " sont envoyées dans le but d'éviter les grandes boucles
de routage. Le protocole IGRP de Cisco utilise les mises à jour de ce type. (Master
management agent) agent de supervision maître. Agent SNMP
tournant sur le processeur réseau d'un commutateur ATM LightStream 2020.
L'agent de supervision maître effectue la conversion entre un gestionnaire
réseau externe utilisant SNMP et les mécanismes internes de gestion du
commutateur.
Méga-octet.
Voir ABM.
Mode d'exploitation dans les
réseaux Token Ring et à interface FDDI selon lequel une interface a été
retirée de l'anneau. Terme servant à décrire les
problèmes relatifs aux fils actifs, neutres et de mise à la terre sur une
ligne électrique. Voir mode normal.
Mode qui permet de contrôler
les signaux et les commandes afin d'établir et de rompre des communications
en V.25bis. Voir aussi V.25bis.
Technique utilisée dans les
réseaux Token Ring qui permet à une station d'émettre un nouveau jeton dans
l'anneau immédiatement après la transmission sans attendre le retour de la
première trame. Cette fonctionnalité peut augmenter la bande passante totale
de l'anneau. Voir aussi Token Ring.
Voir ARM.
Voir NRM.
Voir ATM.
1. Conflit non résolu pour
l'utilisation d'une ressource.
Option définie par une couche
de protocole donnée, qui indique aux autres couches de protocole (ou à la
même couche de protocole dans un autre équipement réseau) de traiter plus
rapidement un certain type de données. Méthode selon laquelle une
interface AppleTalk recueille auprès d'un nœud opérationnel des informations
sur un réseau connecté et les utilise pour se configurer. Aussi appelé configuration
dynamique.
Fonction d'un programme de
contrôle réseau qui lui permet d'effectuer des activités équivalentes à
celles qui sont exécutées par une unité de contrôle de transmission. Par
exemple, dans le cas de CiscoWorks, la PU 2 NetView émule le fonctionnement
d'un IBM 3274
Un des deux modes fonctionnels
du protocole PIM. Le mode dense de protocole PIM est axé sur les données et
similaire aux protocoles types de routage multipoint. Les paquets sont retransmis
à toutes les interfaces sortantes jusqu'à ce qu'il y ait élagage et
troncature. En mode dense, les récepteurs sont densément remplis et les
réseaux en aval sont considérés prêts à recevoir et peut-être à utiliser les
datagrammes qui leur sont transmis. Le coût d'utilisation du mode dense est
son comportement envahissant par défaut. Parfois appelé PIM en mode dense
ou PIM DM. Comparer avec mode intermédiaire de protocole multicast PIM.
Voir aussi PIM.
Un des deux modes fonctionnels
du protocole PIM. Le mode intermédiaire de protocole PIM tente de restreindre
la distribution des données afin qu'un nombre minimal de routeurs du réseau
les reçoivent. Les paquets sont envoyés uniquement s'ils sont explicitement
demandés au point de rendez-vous. En mode intermédiaire, les récepteurs sont
largement répartis et on présume que les réseaux en aval n'utiliseront pas
nécessairement les datagrammes qui leur sont envoyés. Le coût d'utilisation
du mode intermédiaire est sa dépendance sur l'actualisation périodique des messages
de jointure explicites et son besoin de points de rendez-vous. Parfois appelé
PIM en mode intermédiaire ou PIM SM. Comparer avec mode dense de protocole multicast PIM.
Voir aussi PIM et RP
(rendezvous point) Expression utilisée pour
décrire des problèmes entre les fils sous tension et les fils neutres sur une
ligne électronique. Voir mode commun. (Open System
Interconnection reference model) modèle de référence pour l'interconnexion
des systèmes ouverts. Modèle d'architecture de réseau,
développé par l'ISO et l'UIT-T, consistant en sept couches, chacune définissant
des fonctions particulières du réseau comme l'adressage, le contrôle de flux,
le contrôle d'erreurs, l'encapsulation et le transfert fiable de messages. La
couche la plus élevée (couche application) est la plus proche de
l'utilisateur; la couche inférieure (couche physique) est la plus proche de
la technologie de média. Les deux couches inférieures sont mises en œuvre
dans le matériel et le logiciel alors que les cinq couches supérieures ne
sont mises en œuvre que dans le logiciel. Le modèle de référence OSI est
utilisé partout dans le monde comme méthode d'apprentissage des fonctions
d'un réseau. Similaire, sous certains aspects, à SNA. Voir couche application, couche liaison de données, couche réseau, couche physique, couche de présentation, couche session et couche transport.
Voir modèle de référence OSI. (Modulator-demodulator)
modulateur/démodulateur. Dispositif convertissant des
signaux numériques et analogiques. À la source, un modem convertit les
signaux numériques dans un format approprié pour la transmission par des
installations de communications analogiques. À la destination, les signaux
analogiques sont reconvertis en signaux numériques. Les modems permettent de
transmettre des données sur des lignes téléphoniques à fréquences vocales.
Voir DSR.
Voir modem. Processus transformant les
caractéristiques des signaux électriques en vue de représenter de
l'information. Les types de modulation comprennent notamment : modulation
d'amplitude, modulation de fréquence et modulation d'impulsions en amplitude.
Voir aussi AM, FM et PAM.
Voir AM.
Voir FM.
Système de câblage à large
bande où les fréquences disponibles sont réparties en deux groupes : un pour
la transmission et un autre pour la réception.
Voir PAM.
Voir PCM.
Voir ADPCM.
Voir STM-1.
Carte de communications et
carte d'accès combinées permettant de connecter un commutateur ATM
LightStream 2020 à d'autres unités.
Sur un commutateur ATM
LightStream 2020, module combinant la carte NP, la carte d'accès associée à
la carte NP et le système de disques. Voir aussi carte d'accès, système de disques et carte NP. Outil de gestion du
commutateur ATM LightStream 2020 permettant à un utilisateur d'examiner
certains nœuds du réseau et de connaître l'état des modules d'interface et
des blocs d'alimentation. Le moniteur est une application HP OpenView
tournant sur un système d'administration de réseaux. Unité placée en attente dans
un réseau Token Ring en cas de défaillance d'un superviseur actif. Voir aussi
superviseur
actif et superviseur d'anneau. (Maintenance
Operation Protocol) protocole MOP. Protocole
de Digital Equipment Corporation, dont un sous-ensemble est pris en charge
par Cisco, permettant d'effectuer des tâches élémentaires de maintenance sur
des systèmes DECnet. Par exemple, le protocole MOP peut être utilisé pour
télécharger une image système sur une station sans disque dur local. Navigateur Web du domaine
public, mis au point par le National Center for Supercomputing Applications
(NCSA). Voir aussi navigateur
Web. (Multicast OSPF) OSPF multipoint. Protocole de
routage multipoint intradomaine utilisé dans les réseaux OSPF. Des extensions
sont ajoutées au protocole OSPF de base, conçu pour les messages unicast,
afin qu'il prenne en charge le routage multipoint IP. (Metal oxide
varistor) varistor à oxyde métallique. Limiteur de
surtension assurant le calage de la tension et pouvant absorber des courants
importants sans dommage. (Message
Queuing Interface) interface MQI. Interface
API standard internationale offrant des fonctions similaires à celle de
l'interface des appels de procédure distants. Contrairement à cette dernière,
l'interface MQI est mise en œuvre uniquement au niveau de la couche
application. Voir aussi RPC. (Multistation
access unit) unité d'accès multistation.
Concentrateur de câbles auquel sont reliées toutes les stations d'extrémité
dans un réseau Token Ring. L'unité d'accès multistation fournit une interface
entre ces unités et l'interface Token Ring du processeur TRIP d'un CISCO
7000, par exemple. Parfois abrégée en MAU. (Medium-speed
line card) carte d'interface de ligne débit moyen.
Carte du commutateur ATM LightStream 2020 qui peut être configurée en tant
que carte à contacts imprimés ou carte réseau. Combinée à une carte d'accès,
une carte d'interface de ligne débit moyen prend en charge deux ports de
ligne réseau ou ports latéraux (UNI), à un débit pouvant atteindre T3 ou E3. (Maximum
transmission unit) unité de transfert d'information maximale.
Taille maximale de paquet, en octets, que peut traiter une interface donnée. Paquets uniques copiés par le
réseau et envoyés à un sous-ensemble précis d'adresses réseau. Ces adresses
sont précisées dans le champ de l'adresse de destination. Comparer avec broadcast et unicast.
Technique de routage
permettant d'acheminer le trafic IP depuis une seule source à un certain
nombre de destinations ou depuis de nombreuses sources à de nombreuses
destinations. Plutôt que d'envoyer un seul paquet à chaque destination, un
paquet est envoyé à un groupe de multicast identifié par une seule adresse IP
de groupe de destination.
Méthode d'adressage utilisée
par le protocole de routage IS-IS, permettant d'attribuer plusieurs adresses
de zone. Méthode permettant de
transmettre simultanément plusieurs signaux logiques par un seul canal
physique. Comparer avec démultiplexage.
Voir FDM. Technique permettant de
transmettre des informations de différents canaux logiques par un seul canal
physique. Le multiplexage statistique alloue la bande passante de manière
dynamique uniquement aux canaux d'entrée actifs et fait ainsi meilleur usage
de la bande passante disponible car il permet à un plus grand nombre d'unités
d'être connectées que dans les autres techniques de multiplexage. Aussi
appelé multiplexage temporel statistique. Comparer avec ATDM, FDM et TDM.
Voir TDM.
Voir ATDM.
Voir multiplexage statistique. Canal de type IBM qui utilise
le canal FIPS-60, une norme américaine en matière de canaux. Ce canal est
également appelé canal OEMI et multiplexeur de canaux blocs 370.
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