(Negative
acknowledgment) accusé de réception négatif. Réponse
envoyée par une unité réceptrice à une unité émettrice pour lui indiquer que
les informations reçues sont erronées. Comparer avec accusé de réception. (Network
access point) point d'accès au réseau. Emplacement
d'interconnexion de fournisseurs de services Internet aux États-Unis pour
l'échange de paquets.
Voir NBS.
Voir NIST.
Voir NREN.
Voir NSF.
Voir NSFNET. (Network
addressable unit) unité d'adressage réseau. Terme de
l'architecture SNA désignant une entité adressable. Exemples : unité logique,
unité physique et centre directeur. Les unités d'adressage réseau fournissent
généralement des services réseau de niveau supérieur. Comparer avec réseau à contrôle de chemin de
transmission. (Nearest active upstream neighbor) prochain voisin
actif amont.
Dans les réseaux Token Ring ou IEEE 802.5, l'unité réseau la plus proche
en amont d'une unité encore active.
Voir navigateur Web. Application cliente hypertexte
à interface graphique, comme Mosaic, utilisée pour accéder à des documents en
hypertexte et à d'autres services situés sur d'innombrables serveurs Web et
Internet. Voir aussi hypertexte, Internet, Mosaic et Web. (Nonbroadcast
multiaccess) accès multiple sans diffusion. Terme
désignant un réseau à accès multiples qui ne prend pas en charge la diffusion
broadcast (comme X.25) ou dans lequel il est impossible d'en effectuer une
(par exemple, le groupe de broadcast d'un service SMDS ou un réseau Ethernet
trop grand). Voir aussi réseau à accès multiples. (Name Binding
Protocol) protocole de résolution de nom. Protocole
AppleTalk de niveau transport qui convertit une chaîne de caractères en une
adresse interréseau. National Bureau of Standards. Organisme
ayant déjà fait partie du Department of Commerce des États-Unis. Maintenant
connu sous l'acronyme NIST. Voir aussi NIST. (Native
client interface architecture) architecture d'interface native client.
Architecture d'accès aux applications SNA, développée par Cisco, qui offre
toutes les fonctions d'interfaces SNA natives sur l'hôte et le client, ainsi
que la souplesse nécessaire pour tirer parti des réseaux fédérateurs TCP/IP.
Cette architecture encapsule le trafic SNA sur un PC client ou une station de
travail cliente et assure ainsi un accès direct au réseau TCP/IP tout en
conservant l'interface SNA native au niveau de l'utilisateur final. Dans de
nombreux réseaux, cette architecture élimine le recours à une passerelle
autonome et offre un accès souple à TCP/IP tout en préservant l'interface SNA
native à l'hôte. (Network
Control Program) programme de contrôle de réseau.
Dans l'architecture SNA, programme qui achemine et contrôle le flux de
données entre un contrôleur de communication (sur lequel il réside) et
d'autres ressources du réseau. (Neighborhood
discovery) découverte du voisinage. Processus
s'exécutant sur le processeur réseau de chaque commutateur ATM LightStream
2020 dans un réseau ATM. Pour le routage des appels, chaque nœud du réseau
doit être informé des modifications de topologie du réseau, par exemple des
lignes et des ports qui sont activés ou qui tombent en panne. Le processus de
découverte du voisinage détecte les modifications se produisant au niveau du
châssis et achemine ces informations vers le processus GID, qui les envoie
ensuite dans tout le réseau. Parfois appelé démon de découverte du
voisinage ou NDD . Voir aussi GID.
(Neighborhood
discovery daemon) démon de découverte du voisinage.
Voir ND. (Network
driver interface specification) spécification NDIS.
Spécification d'un pilote de périphérique générique, non tributaire du
matériel et du protocole, pour les cartes réseau. Produite par Microsoft. Réseau régional en
Nouvelle-Angleterre (aux États-Unis) qui relie l'université de Boston,
l'université Harvard et le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Fait
maintenant partie de BBN Planet. Voir aussi BBN Planet. (Network
entity title) titre d'entité réseau. Adresses
réseau définies par l'architecture réseau de l'ISO et utilisées dans les
réseaux à service non orienté connexion.
Abréviation de network (réseau). (Network Basic Input/Output System) interface
NetBIOS. Interface
API utilisée par des applications en un réseau local IBM pour effectuer des
requêtes de services à des processus réseau de couche inférieure. Ces
services peuvent comprendre l'établissement et l'arrêt d'une session ainsi
que le transfert de données.
Application de gestion de
réseau de Cisco offrant une interface graphique intuitive pour la supervision
des statistiques de la fonction RMON et des informations relatives à
l'analyse de protocoles. L'application NETscout comporte également un
ensemble étendu d'outils simplifiant la collecte et l'analyse de données
ainsi que la création de rapports. Ces outils permettent aux administrateurs
système de superviser le trafic, d'établir des seuils et de saisir des
données sur le trafic pour tout segment du réseau.
Architecture de gestion de réseaux
d'IBM et ses applications connexes. NetView est une application VTAM servant
à la gestion de gros ordinateurs (mainframes) dans des réseaux SNA. Voir
aussi VTAM.
Système d'exploitation de
réseau distribué très populaire qui a été développé par Novell. Il offre un
accès transparent aux fichiers à distance et de nombreux autres services
réseau distribués.
Voir NLM.
1.) Commande attribuant une adresse de carte réseau à laquelle le
routeur est directement relié.
Voir NetBIOS. (Network File
System) système de fichiers en réseau. Dans sa
forme la plus courante, ensemble de protocoles pour systèmes de fichiers
distribués, développé par Sun Microsystems, permettant un accès distant aux
fichiers dans un réseau. Mais, en réalité, NFS n'est que l'un des protocoles
de cet ensemble. Les protocoles NFS sont notamment les protocoles NFS, RPC et
XDR (External Data Representation). Ces protocoles font partie d'une
architecture plus large de Sun, appelée informatique à réseau ouvert. Voir
aussi ONC. (Next Hop
Resolution Protocol) protocole de résolution de sauts successifs.
Protocole qu'utilisent les routeurs pour la détection dynamique de l'adresse
MAC d'autres routeurs et d'hôtes reliés à un réseau à accès multiple sans
diffusion. La communication entre ces systèmes peut être établie directement,
sans qu'il soit nécessaire pour le trafic de passer par un saut
intermédiaire, ce qui augmente la performance des environnements ATM, Frame
Relay, SMDS et X.25. 1.) (Network
interface card) carte réseau. Carte permettant d'établir la
communication avec un ordinateur en réseau. Aussi appelée carte. Voir
aussi AUI. (Network
Information Service) service d'information réseau.
Protocole développé par Sun Microsystems pour l'administration de bases de
données à l'échelle du réseau. Ce service fait essentiellement appel à deux
programmes : un pour la recherche d'un serveur NIS et l'autre pour l'accès
aux bases de données NIS. RNIS à bande
étroite. Normes de communication développées par l'UIT-T
pour les réseaux à bande de base. Ces normes on été établies en fonction de
canaux B à 64 Kbits/s et de canaux D à 16 ou 64 Kbits/s. Comparer avec BISDN.
Voir aussi BRI, RNIS et PRI. National Institute of Standards and Technology. Anciennement
appelé National Bureau of Standards, cet organisme gouvernemental américain
prend en charge et répertorie une variété de normes. Voir aussi NBS. (NetWare Loadable Module) module chargeable NetWare. Programme
distinct pouvant être chargé en mémoire et faire partie intégrante du système
d'exploitation de réseau NetWare. (NetWare Link
Services Protocol) protocole NLSP. Protocole
de routage à état de liens basé sur IS-IS. La mise en œuvre par Cisco du
protocole NLSP comprend également des variables MIB et des outils pour la
redistribution des informations de routage et de protocoles SAP entre le
protocole NLSP et d'autres protocoles de routage IPX. Voir aussi IS-IS. (Network
Management Processor) processeur de gestion de réseau.
Module processeur du commutateur Catalyst 5000 servant à contrôler et à
surveiller le commutateur. (Network
management system) système d'administration de réseaux.
Système responsable de la gestion d'au moins une partie d'un réseau. Un
ordinateur raisonnablement puissant et doté de nombreuses fonctionnalités,
tel qu'une station de travail d'ingénierie, peut généralement servir de
système d'administration de réseaux. Ce type de système communique avec des
agents pour assurer le suivi des statistiques et des ressources réseau. (Network
management vector transport) transport vectoriel d'information sur la gestion
de réseau. Message SNA constitué d'une série de vecteurs
contenant des informations précises sur la gestion du réseau. (Network
node) nœud de réseau. Nœud intermédiaire SNA assurant la
connectivité de nœuds LEN et de nœuds d'extrémité, en plus de leur fournir
des services d'annuaire, de sélection de routes, de routage de session
intermédiaire, de transport de données et de gestion de réseau. Le nœud de
réseau contient un point de contrôle gérant les ressources du nœud lui-même
et celles des nœuds d'extrémité et des nœuds LEN se trouvant dans son
domaine. Les nœuds de réseau fournissent des services de routage
intermédiaire en mettant en œuvre les extensions PU 2.1 APPN. Comparer avec EN.
Voir aussi CP. (Network-to-Network
Interface) interface de réseau à réseau. Norme de
l'ATM Forum définissant l'interface entre deux commutateurs ATM qui se
trouvent tous les deux dans un réseau privé ou dans un réseau public.
L'interface entre un commutateur public et un commutateur privé est définie
par la norme relative à l'interface UNI. Également, l'interface standard
entre deux commutateurs Frame Relay qui satisfont aux mêmes critères.
Comparer avec UNI. Commande utilisée pour
désactiver la fonction de traduction nom-adresse dans un routeur. (Network
Operations Center) centre d'exploitation de réseaux.
Organisation responsable de la maintenance d'un réseau. 1. Point d'extrémité d'une
connexion réseau ou d'une jonction de deux lignes ou plus dans un réseau. Des
processeurs, des contrôleurs ou des postes de travail peuvent jouer le rôle
de nœud. Les nœuds, dont les fonctions de routage et autres varient, peuvent
être interconnectés et servir de points de contrôle dans un réseau. Le terme
nœud désigne parfois, de façon générique, toute entité pouvant avoir accès à
un réseau. Il est souvent utilisé, de façon interchangeable, pour désigner
une unité. Voir aussi hôte.
Voir PSN.
Voir NN.
Voir IRN.
Hôte ou contrôleur de communication
SNA qui traite les adresses réseau complètes.
Voir EN.
Dans les réseaux APPN, un nœud
d'extrémité ou un nœud réseau qui met en œuvre le composant DLUR Voir aussi DLUR.
Dans les réseaux APPN, un nœud
réseau qui met en œuvre le composant DLUS. Voir aussi DLUS.
Nœud de sous-zone
d'architecture SNA qui comprend un centre directeur.
Voir BNN.
Voir BNN. (Low-entry networking node) nœud LEN. Dans
l'architecture SNA, une PU 2.1 qui prend en charge les protocoles LU, mais
dont le point de contrôle ne peut pas communiquer avec d'autres nœuds. En
raison de l'absence de session point de contrôle à point de contrôle entre un
nœud LEN et son nœud de réseau, le nœud LEN doit comporter une image du
réseau APPN qui est définie statiquement.
Dans l'architecture SNA, nœud
qui utilise les adresses locales et qui n'est donc pas touché par les
changements d'adresses réseau. Les nœuds périphériques ont besoin de
l'assistance de la fonction frontière d'un nœud adjacent.
1.) Dans l'architecture
SNA, nœuds connectés à un nœud particulier sans nœud entre les deux.
Nom complet d'un fichier ou
d'un répertoire UNIX, DOS ou LynxOS, incluant tous les noms de répertoire et
de sous-répertoire. Les noms consécutifs dans un nom de chemin sont
habituellement séparés par une oblique (/) ou une oblique inversée (\), comme
dans /usr/app/base/config. Métrique de routage utilisée
pour mesurer la distance entre une source et une destination. Le protocole
RIP utilise uniquement le nombre de sauts comme métrique de routage. Voir
aussi saut et RIP.
Nombre maximal de trames à
transmettre que peut avoir un serveur SNA PU 2 à tout moment. Terme qui décrit un transfert
de données sans la présence d'un circuit virtuel. Comparer avec orienté connexion.
Voir aussi circuit
virtuel. Ensemble de règles ou de
procédures largement répandues ou officialisées. Voir aussi standard de facto.
Voir DES.
Réseau régional fondé par la National
Science Foundation et servant le nord-ouest des États-Unis, l'Alaska, le
Montana et le Dakota du Nord. Les principales universités de la région et de
nombreuses grandes entreprises industrielles sont reliées au réseau Northwest
Net. (Network
operating system) système d'exploitation de réseau.
Expression générique désignant des systèmes de fichiers véritablement répartis.
Exemples de systèmes d'exploitation de réseau : LAN Manager, NetWare, NFS et
VINES.
Voir adresse présentée à l'aide de point de
séparation.
Voir adresse présentée à l'aide de point de
séparation. notation ISO de syntaxe abstraite ASN 1 Voir ASN.1.
Voir BECN.
Voir FECN.
Voir IPX.
Voir NPTMM. (NP TCS monitoring module)
module de surveillance NP TCS Processus s'exécutant sur le processeur réseau
de chaque commutateur ATM LightStream 2020 dans un réseau ATM. Le module
NPTMM supervise l'état du système par l'intermédiaire du système TCS et
coordonne le transfert de commutateurs en cas de cartes de commutation
redondantes. Voir aussi TCS. National Research and Education Network. Élément du
programme HPCC visant à assurer la prédominance technique des États-Unis en
communications informatiques grâce à des activités de recherche et de
développement dans des technologies de pointe en télécommunications et en
réseautique. Voir aussi HPCC. (Normal
response mode) mode de réponse normal. Mode HDLC à
utiliser pour les liaisons à une station primaire et à une ou plusieurs
stations secondaires. En mode HDLC, les stations secondaires ne peuvent
transmettre des données que si elles ont reçu une requête de la station
primaire. (Nonreturn to
zero) codage de non retour à zéro. Les signaux
à codage de non retour à zéro (NRZ) maintiennent des niveaux de tension
constants, sans transition du signal, au cours d'un intervalle de bits donné.
Comparer avec NRZI. (Nonreturn to
zero inverted) codage inversé de non retour à zéro. Les
signaux à codage inversé de non retour à zéro maintiennent des niveaux de
tension constants, sans transition de signal, mais interprètent la présence
de données au début d'un intervalle de bits comme une transition de signal,
l'absence de données signifiant qu'il n'y a pas de transition. Comparer avec NRZ. (Network
service access point) point d'accès au service réseau.
Adresses réseau spécifiées par l'ISO. Point d'accès auquel le service réseau
OSI est disponible pour une entité de couche transport (couche 4). National Science Foundation. Agence
gouvernementale américaine qui finance la recherche scientifique aux
États-Unis. Le réseau NSFNET, aujourd'hui disparu, a été fondé par la NSF.
Voir aussi NSFNET. National Science
Foundation Network. Grand réseau géré par la National
Science Foundation (NSF), qui offrait des services de réseautique pour
soutenir l'éducation et la recherche aux États-Unis, de 1986 à 1995. NSFNET
n'est plus actif. (NCP/Token
Ring Interconnection) interconnexion Token Ring/NCP.
Fonction utilisée par ACF/NCP pour prendre en charge les unités SNA
connectées à un réseau Token Ring. La fonction NTRI assure également des
fonctions de traduction des unités SNA reliées au réseau Token Ring (unités
physiques) en unités commutées.
Dispositif permettant de
relier deux unités ETTD sans utiliser de modems.
Prochain octet TCP prévu.
Voir LCN.
Voir VCN.
Voir X.121. Partie d'une adresse IP qui
désigne le nœud du sous-réseau auquel on s'adresse. Aussi nommé adresse
d'origine.
Numéro qui identifie chaque
pont dans un réseau local de pontage SRB. Les ponts parallèles doivent avoir
des numéros différents.
Partie d'une adresse IP
indiquant le réseau auquel appartient l'hôte.
Numéro utilisé pour assurer la
bonne séquence des données entrantes.
Numéro de 8 bits identifiant
un socket. Un maximum de 254 numéros de socket différents peuvent être
attribués dans un nœud AppleTalk. (Nonvolatile
RAM) mémoire non volatile. Mémoire vive dont le contenu ne se
vide pas lors de la mise hors tension. Dans les produits Cisco, les données
de configuration sont stockées dans la mémoire non volatile.
Réseau à New York (aux États-Unis) comportant un
backbone (fédérateur) T1 qui relie la National Science Foundation (NSF), de
nombreuses universités et plusieurs entreprises commerciales. |