(Alternating Current) courant
alternatif. Courant électrique qui inverse sa direction de
façon périodique et continue. Il s'agit de la forme d'énergie électrique que
l'on retrouve dans les résidences et les immeubles commerciaux. L'abréviation
de ce terme est c.a.
Courant
continu. Courant électrique qui voyage dans une seule
direction. Le courant continu est habituellement utilisé dans les circuits
électroniques. Voir c.c.
Voir prévention d'encombrement. Câblage qui réalise
l'interconnexion entre locaux techniques, entre les locaux techniques et le
point de présence, et entre les édifices qui font partie du même réseau
local. Voir câblage
vertical. Un des cinq types de câblage à
paires torsadées non blindées décrits dans la norme EIA/TIA-568B. Les câbles
de catégorie 1 servent aux communications téléphoniques et ne conviennent pas
à la transmission de données. Comparer avec câblage de catégorie 2, câblage de catégorie 3, câblage de catégorie 4 et câblage de catégorie 5.
Voir aussi EIA/TIA-568B et UTP. Un des cinq types de câblage à
paires torsadées non blindées décrits dans la norme EIA/TIA-568B. Les câbles
de catégorie 2 peuvent transmettre des données à des vitesses allant jusqu'à
4 Mbits/s. Comparer avec câblage de catégorie 1, câblage de catégorie 3, câblage de catégorie 4 et câblage de catégorie 5.
Voir aussi EIA/TIA-568B et UTP. Un des cinq types de câblage à
paires torsadées non blindées décrits dans la norme EIA/TIA-568B. Les câbles
de catégorie 3 sont utilisés dans les réseaux 10BaseT et peuvent transmettre
des données à des vitesses allant jusqu'à 10 Mbits/s Comparer avec câblage de catégorie 1, câblage de catégorie 2, câblage de catégorie 4 et câblage de catégorie 5.
Voir aussi EIA/TIA-568B et UTP. Un des cinq types de câblage à
paires torsadées non blindées décrits dans la norme EIA/TIA-568B. Les câbles
de catégorie 4 sont utilisés dans les réseaux Token Ring et peuvent
transmettre des données à des vitesses allant jusqu'à 16 Mbits/s. Comparer
avec câblage
de catégorie 1, câblage de catégorie 2, câblage de catégorie 3 et câblage de catégorie 5.
Voir aussi EIA/TIA-568B et UTP. Un des cinq types de câblage à
paires torsadées non blindées décrits dans la norme EIA/TIA-568B. Les câbles
de catégorie 5 sont utilisés pour l'interface CDDI et peuvent transmettre des
données à des vitesses allant jusqu'à 100 Mbits/s Comparer avec câblage de catégorie 1, câblage de catégorie 2, câblage de catégorie 3 et câblage de catégorie 4.
Voir aussi EIA/TIA-568B et UTP. Câblage de backbone. Voir câblage de backbone.
Média de transmission en fil
de cuivre ou fibre optique enveloppé d'une gaine protectrice. Média physique conducteur
d'impulsions lumineuses modulées. Comparé à d'autres médias de transmission,
le câble à fibre optique est plus coûteux, mais il est insensible aux
interférences électromagnétiques et peut transmettre à des débits plus
élevés. Parfois appelé fibre optique.
Câble comportant une couche
d'isolant blindé afin de réduire les interférences électromagnétiques.
Câble composé d'un conducteur
externe, cylindrique et vide, qui enveloppe un unique fil conducteur interne.
Deux types de câbles coaxiaux sont couramment utilisés dans les réseaux
locaux : les câbles de 50 ohms, utilisés pour la signalisation numérique, et
les câbles de 75 ohms, utilisés pour la signalisation analogique et la
signalisation numérique à haut débit.
En règle générale, câble qui
relie une unité réseau (un ordinateur par exemple) à un média physique. Type
d'AUI. Voir aussi AUI.
Voir AUI.
Voir ICC.
Petit dispositif ou câble
servant à relier directement des ordinateurs, plutôt que par un réseau.
Méthode assurant le stockage
sur un routeur des noms d'hôtes détectés à distance pour faciliter les
décisions futures relatives à l'acheminement des paquets et accélérer l'accès
à ces derniers.
Voir CERFnet.
(Content-addressable
memory) mémoire associative. Voir mémoire associative.
Voir CSA.
1. Voie de communication. Dans
certains environnements, il est possible de multiplexer plusieurs canaux sur
un câble unique. Canal Bearer .
Dans un réseau numérique à intégration de services (RNIS), canal en duplex intégral
de 64 Kbits/s servant à envoyer des données d'utilisateur. Comparer avec canal D, canal E et canal H.
Voir canal B. Canal IBM développé au cours
des années soixante, qui utilise la technologie de circuits tissés en cuivre.
Remplacé par le canal ESCON. Voir aussi canal ESCON et canal parallèle. 1. (Data channel)
canal de transmission de données. Canal RNIS en full duplex à 16
Kbits/s (BRI) ou 64 Kbits/s (PRI). Comparer avec canal B, canal E et canal H.
Voie de communication pour le
transport des informations du demandeur au demandé.
Voir canal D.
Point d'un canal multipoint où s'effectue la
connexion à une unité du réseau. (Echo channel) canal écho. Canal de
contrôle de commutation de circuits RNIS à 64 Kbits/s. Le canal E a été
défini dans la spécification de l'UIT-T sur le RNIS en 1984, mais il a été
abandonné dans la norme de 1988. Comparer avec canal B, canal D et canal H.
Voir canal E.
Voir canal ESCON. Canal IBM pour relier des mainframes à des périphériques tels que des unités de stockage et de sauvegarde ou des interfaces réseau. Ce canal utilise la technologie de fibre optique. Le canal ESCON remplace le canal Bus and Tag. Comparer avec canal parallèle. Voir aussi canal Bus and Tag. (High-speed
channel) canal à haut débit. Canal RNIS à débit primaire
fonctionnant à 384 Kbits/s en full duplex. Comparer avec canal B, canal D et canal E.
Voie de communication non
spécialisée, à commutation de paquets, entre deux ou plusieurs nœuds de
réseau. La commutation de paquets permet l'existence en simultané de nombreux
canaux logiques sur un seul canal physique.
Voir multiplexeur de canaux blocs. Canal qui utilise des câbles
" Bus and Tag " comme média de transmission. Comparer avec canal ESCON.
Voir aussi canal
Bus and Tag.
Voir circuit virtuel.
Canal mural avec couvercle
amovible utilisé pour le câblage horizontal.
Type de canal mural avec
couvercle amovible utilisé pour le câblage horizontal. Les canalisations
décoratives peuvent recevoir deux câbles. Voir NIC
(carte réseau). Carte d'interface sur le
commutateur ATM LightStream 2020, configurée pour communiquer avec des
équipements extérieurs au réseau ATM. Les cartes à contacts imprimés offrent
des interfaces Ethernet, FDDI, Frame Relay, C-3c et UNI. Voir aussi carte réseau. Carte E-S située dans le commutateur ATM
LightStream 2020. Les cartes d'accès, ainsi que les cartes d'interface qui
leur sont associées, fournissent des services de transfert de données à un
commutateur à l'aide d'interfaces physiques, OC-3c par exemple. Un
commutateur LightStream 2020 peut comporter jusqu'à 10 cartes d'accès.
Carte du commutateur ATM
LightStream 2020 qui gère les communications entre les autres cartes du
commutateur. Chaque commutateur LightStream 2020 est doté d'une ou de deux
cartes de commutation. La deuxième sert de carte de secours pour la première.
Voir CEMAC. 1) Plaque de montage, utilisée
surtout dans les châssis de AGS+, MGS et CGS de Cisco, qui comporte le
matériel de connexion permettant de les connecter au réseau. Les cartes
d'interface traduisent les signaux de communication d'une interface réseau en
signaux reconnus par la norme de communication utilisée (telle EIA/TIA-232 ou
V.35). Voir aussi panneau
de connexions.
Gamme de cartes d'interface de
groupe de travail Cisco permettant de relier des postes de travail à des
interfaces CDDI ou FDDI d'un débit de100 Mbits/s.
Voir LSC.
Voir MSC.
Voir CLC.
Voir PLC.
Carte d'interface ou carte NP
dans un commutateur ATM LightStream 2020. (Network
processor card) carte processeur réseau. Principale
ressource de calcul et de stockage d'un commutateur ATM LightStream 2020.
Chaque commutateur LightStream 2020 est doté d'une ou de deux cartes
processeur réseau. La deuxième sert de carte de secours pour la première.
Chaque carte processeur réseau est associée à un lecteur de disquette pour le
chargement de logiciels et à un disque dur pour le stockage de logiciels et
de données de configuration. Chaque carte processeur réseau est également
dotée d'une carte d'accès comportant un port Ethernet.
Carte de routeur
multiprotocole Cisco pouvant être installée sur un PC compatible IBM équipé
d'un bus ISA ou EISA. Cette série de cartes de routeur compatibles PC repose
sur la technologie de la série Cisco 2500. Cette carte fournit une
connectivité extensible et permet un routage souple et complet. Les cartes PC
AccessPro fonctionnent de façon autonome en utilisant uniquement leur propre
puissance de traitement. Elles offrent ainsi des capacités de routage sans affecter
les applications existantes.
Voir CIP.
Voir carte NP. 1.) Carte d'interface d'un
commutateur ATM LightStream 2020 configurée pour communiquer avec d'autres
commutateurs ATM. Les cartes réseau du LightStream 2020 offrent divers types
d'interface. Les cartes d'interface de ligne cellules, bas débit et débit
moyen peuvent être utilisées en tant que cartes réseau. Voir aussi carte à contacts imprimés et
NIC. Outil de gestion du
commutateur ATM LightStream 2020, qui examine un réseau et affiche l'état de
ses nœuds et liaisons. La carte topologique est une application basée sur HP
OpenView, qui tourne sur un système d'administration de réseaux. Système de commutation
modulaire Cisco qui permet d'établir une connexion à Ethernet, aux interfaces
CDDI et FDDI, ainsi qu'aux réseaux locaux et aux fédérateurs ATM. Le
commutateur Catalyst 5000 exécute la commutation de paquets en différé et
permet aux utilisateurs de réserver les connexions de 10 ou de 100 Mbits/s
aux segments de réseaux locaux existants ou aux stations d'extrémité hautes
performances. (Cable
television) télévision câblée. Système de communication par
lequel plusieurs canaux d'émissions sont transmis aux abonnés par
l'intermédiaire d'un câble coaxial à large bande. Désigné auparavant sous le
nom de antenne de télévision commune.
1) Terme désignant un câble de raccordement dans
un local technique. (Connectionless
Broadband Data Service) service de données à large bande non orienté
connexion Technologie européenne de réseau longue distance
à haut débit et à commutation de paquets basée sur des datagrammes. Semblable
au service SMDS. Voir aussi SMDS. (Constant bit
rate) débit constant. Classe de qualité de service (QoS)
définie par l'ATM Forum pour les réseaux ATM. Le débit constant est utilisé
pour les connexions qui dépendent d'une synchronisation précise pour assurer
une livraison sans distorsion. Comparer avec ABR (débit
disponible ATM), UBR et VBR. (Consultative
Committee for International Telegraph and Telephone) Comité consultatif
international télégraphique et téléphonique. Organisme
international chargé du développement des normes de communication. Maintenant
appelé UIT-T. Voir UIT-T. Cisco Connection Online. Service en
ligne offert aux clients de Cisco, qui fournit des services électroniques et
des informations en ligne sur les produits Cisco. Les services CCO
comprennent des informations sur les produits, des mises à niveau
logicielles, des conseils techniques, des remarques sur la configuration, de
la documentation et des services de téléchargement. (Common
channel signaling) signalisation par voie commune.
Système de signalisation utilisé dans les réseaux téléphoniques qui sépare
les informations de signalisation des données utilisateur. Un canal
particulier est exclusivement désigné pour transporter les informations de
signalisation pour tous les autres canaux du système. Voir aussi SS7. (Carrier
Detect) détection de la porteuse Signal qui indique si
une interface est active. Aussi, un signal généré par un modem afin
d'indiquer qu'un appel a été établi. (Copper
Distributed Data Interface) norme CDDI. Mise en
œuvre de protocoles FDDI sur des câbles à paires torsadées blindées et non
blindées. Les systèmes CDDI peuvent transmettre sur de courtes distances
(environ 100 mètres) à un débit d'environ 100 Mbits/s au moyen d'une
architecture à deux anneaux pour assurer la redondance. Cette norme repose
sur la norme ANSI TPPMD (dépendant du média physique à paire torsadée).
Comparer avec FDDI. (Cisco Discovery Protocol) protocole CDP. Protocole de
recherche de dispositifs, indépendant des protocoles et des médias,
exécutable dans toutes les unités fabriquées par Cisco, notamment les
routeurs, les serveurs d'accès, les ponts et les commutateurs. Grâce au
protocole CDP, un dispositif peut annoncer sa présence à d'autres dispositifs
et recevoir des informations sur d'autres dispositifs du même réseau local ou
à l'autre extrémité d'un réseau longue distance. Il peut être exécuté sur
tous les médias qui supportent le protocole SNAP, notamment les médias pour
réseaux locaux, Frame Relay et ATM. (Cellular
Digital Packet Data) donnée paquet numérique en lot sur cellulaire.
Norme ouverte pour les communications de données sans fil bidirectionnelles
au moyen de canaux de téléphonie cellulaire haute fréquence. Elle permet la
transmission de données entre une liaison cellulaire distante et un point
d'accès au réseau. La vitesse de transmission est de 19,2 Kbits/s. (cell delay
variation tolerance) tolérance de gigue. Paramètre
défini par l'ATM Forum pour la gestion du trafic ATM. Dans le cas des
transmissions à débit constant, ce paramètre définit le niveau de gigue
acceptable pour les échantillons de données pris par le taux maximal de
cellules. Voir aussi CBR et PCR. Unité de base en commutation
ATM et en multiplexage. Les cellules contiennent des identificateurs qui
précisent le flux de données dont elles font partie. Chaque cellule comprend
un en-tête de 5 octets et 48 octets de données utiles. Voir aussi relais de cellules. (Operation,
Administration, and Maintenance) cellule OAM.
Spécification de l'ATM Forum concernant les cellules utilisées pour la
supervision de circuits virtuels. Les cellules OAM assurent un bouclage au
niveau du circuit virtuel au cours duquel un routeur répond aux cellules, ce
qui confirme la création du circuit et le bon fonctionnement du routeur.
(cellules/s).
Cellules par
seconde. (Circuit
emulation access card) carte d'émulation de circuit.
Carte d'émulation de circuit T1 ou E1 du commutateur ATM LightStream 2020.
Voir aussi carte
d'accès.
Voir CO.
Voir TAC.
Voir NOC. Organisme dont l'InterNIC
(Internet Network Information Center) a assumé les fonctions. Voir InterNIC.
Voir SSCP.
PBX AT&T qui permet la
sélection directe à l'arrivée et l'enregistrement automatique de numéro pour
les PBX demandeurs. Conférence
Européenne des Postes et des Télécommunications. Association
de 26 PTT européennes qui fait des recommandations à l'UIT-T en matière de
communications. California Education and Research Federation
Network. Réseau
TCP/IP, dont le siège est au sud de la Californie, qui relie des centaines
d'institutions d'enseignement supérieur à l'échelle du globe et qui offre des
services d'accès Internet à ses abonnés. CERFnet, fondé en 1988 par le San
Diego Supercomputer Center et General Atomics, est subventionné par la NSF (National
Science Foundation).
Voir Cisco FRAD. (Compact
Gateway Server) serveur d'interconnexion compact.
Routeur multiprotocole de milieu de gamme de Cisco, conçu pour les
environnements régionaux de taille petite à moyenne. Le CGS est un routeur à
deux emplacements qui supporte un maximum de quatre interfaces (toutes du
même type).
Concept d'architecture SNA
selon lequel les unités de requête/réponse sont groupées à des fins de
reprise sur incident.
Grosse chaîne robuste utilisée
pour tirer le câble dans de multiples passages.
Voir RIF.
Algorithme de routage utilisé
par APPN selon lequel chaque routeur où passe un message en route vers sa
destination détermine de façon indépendante le meilleur chemin vers le
routeur suivant.
Se dit des dispositifs reliés
directement à un ordinateur par des canaux de données (entrée/sortie).
Voir CSU. (Challenge
Handshake Authentication Protocol) protocole d'authentification à échanges
confirmés. Fonction de sécurité prise en charge sur les
lignes utilisant l'encapsulation PPP afin d'empêcher les accès non autorisés.
Le protocole CHAP n'empêche pas l'accès non autorisé, il identifie simplement
l'extrémité à distance. Le routeur ou serveur d'accès détermine ensuite si
l'utilisateur est autorisé à accéder au système. Comparer avec PAP.
Voir fcload. Groupement logique de circuits
virtuels qui relient deux sites. Voir aussi circuit virtuel.
Voir PVP.
Voir IP classique sur ATM.
Réseau régional qui relie des
organismes universitaires, commerciaux, de recherche et à but non lucratif du
Midwest des États-Unis. Fondé en 1988, CICNet faisait partie de NSFNET et
était subventionné par la NSF jusqu'à la dissolution de NSFNET en 1995. Voir
aussi NSFNET. (Customer Information Control System) système CICS. Sous-système
d'application IBM qui permet aux applications utilisateur de traiter
simultanément les transactions entrées sur des terminaux distants. (Classless
interdomain routing) routage CIDR. Technique
prise en charge par le protocole BGP4 et basée sur le regroupement des
routes. Le routage CIDR permet aux routeurs de regrouper des routes afin de
réduire la quantité d'informations de routage transportée par les routeurs de
cœur de réseau. Avec le routage CIDR, plusieurs réseaux IP sont perçus comme
une seule grande entité par les réseaux à l'extérieur du groupe. Voir aussi BGP4. (Channel
Interface Processor) carte processeur d'interface à attachement canal.
Interface de liaison aux canaux pour les routeurs Cisco 7000. Cette carte d'interface
sert à connecter un ordinateur hôte à une unité de contrôle, éliminant la
nécessité d'un processeur frontal pour la liaison aux canaux. (Committed
information rate) débit de données garanti. Vitesse
moyenne, calculée sur un minimum de temps, à laquelle un réseau Frame Relay
accepte de transférer des informations dans des conditions normales. Le débit
de données garanti, mesuré en bits par seconde, est une des mesures clés du
tarif négocié. Voir aussi Bc.
Voie de communication entre
deux ou plusieurs points.
Liaison d'accès d'une vitesse
de 2 048 Mbits/s subdivisée en 30 canaux B et un canal D. Elle supporte le
routage à établissement de connexion à la demande, le protocole Frame Relay
et la norme X.25. Comparer avec circuit T1 multicanal fractionné.
Voie brisée sur un support de
transmission. Des circuits ouverts empêchent habituellement la communication
sur le réseau.
Liaison d'accès d'un débit de
1 544 Mbits/s subdivisée en 24 canaux (23 canaux B et un canal D) à 64
Kbits/s chacun. Chacun des canaux ou des groupes de canaux est relié à une
destination différente. Elle supporte le routage à établissement de connexion
à la demande, le protocole Frame Relay et la norme X.25. Également appelée T1
fractionnée. Comparer avec circuit E1 multicanal fractionné. Circuit logique créé pour
assurer une communication fiable entre deux unités de réseau. Un circuit
virtuel est défini par une paire d'identificateurs de circuit virtuel et de
canal virtuel et peut être permanent ou commuté. Les circuits virtuels sont
utilisés par les technologies Frame Relay et X.25. Dans la technologie ATM,
le circuit virtuel est appelé canal virtuel. Parfois abrégé en CV.
Voir aussi PVC, SVC, VCI, route virtuelle et VPI.
Voir SVC.
Voir PVC. Tous les routeurs et
prolongateurs de réseau local de la gamme Cisco 1000. La gamme Cisco 1000 est
composée de produits abordables, faciles à installer, offrant un accès
multiprotocole et conçus pour les petits bureaux et autres emplacements
distants. La famille Cisco 1000 comprend un routeur RNIS, un routeur
asynchrone et des prolongateurs de réseau local. Voir aussi prolongateur de réseau local. Tous les routeurs et serveurs
d'accès de la gamme Cisco 2500, notamment les routeurs de réseau local
unique, les routeurs spécialisés bas de gamme, les routeurs-concentrateurs,
les serveurs d'accès et les routeurs à deux réseaux locaux. La gamme Cisco
2500 est conçue pour les petits bureaux et autres emplacements distants et
fonctionne sous le logiciel Cisco IOS. La gamme 2500 est parfois appelée
gamme Access Server 2500.
Tous les routeurs de la gamme
Cisco 4000 conçue pour une variété d'environnements réseaux. Les routeurs
Cisco 4000 tournent sous le logiciel Cisco IOS et peuvent être optimisés pour
des environnements particuliers au moyen de configurations personnalisées. Plate-forme de communication
de données Cisco qui combine les fonctions d'un serveur d'accès Cisco avec
des modems numériques et analogiques, des unités CSU et de l'équipement
d'extrémité T1. La plate-forme Cisco 5100 est optimisée pour l'accès rapide
par modem et convient bien aux applications de commutation, notamment, l'accès
aux hôtes, la messagerie électronique, le transfert de fichiers et l'accès
commuté à un réseau local. La plate-forme Cisco 5100 est également appelée
gamme Access Server 5100. Tous les routeurs de la gamme
Cisco 7000 (Cisco 7000 ou Cisco 7010). Une plate-forme de routeurs haut de
gamme qui supportent un large éventail d'interfaces réseau et de types de
média, conçue pour les réseaux d'entreprise. Les routeurs Cisco 7000 tournent
sous le logiciel Cisco IOS et supportent le changement de configuration
logicielle en ligne, l'insertion à chaud, l'amorçage rapide, la surveillance
de l'environnement, l'auto-diagnostic, les blocs d'alimentation redondants et
la mémoire flash. Tous les routeurs de la gamme
Cisco 7500, une plate-forme de routeurs multiprotocoles haut de gamme conçue
pour les réseaux d'entreprise. Les routeurs Cisco 7500 tournent sur la
plate-forme logicielle Cisco IOS et sont basés sur une architecture
multiprocesseur répartie composée de CyBus, du protocole RSP et du processeur
VIP. Voir aussi CyBus, RSP et VIP.
Voir CCO.
Voir CDP.
Voir CxBus. (Cisco Frame
Relay access device) équipement d'accès au réseau Frame Relay.
Produit Cisco qui supporte les services Frame Relay SNA Cisco IOS et qui peut
être mis à niveau et transformé en routeur multiprotocole complet. Le module
Cisco FRAD relie les dispositifs SDLC aux services Frame Relay sans qu'un
réseau local existant soit nécessaire. Toutefois, il prend en charge les
réseaux locaux existants et peut effectuer la conversion des protocoles SDLC
en protocoles Ethernet et Token Ring. Voir aussi FRAD.
Commutateur
ATM Cisco LightStream 100, un commutateur ATM parfaitement non
bloquant d'un débit maximal de 2,4 Gbits/s qui supporte de multiples lignes
ATM d'un débit de 155 Mbits/s, ainsi qu'une grande variété d'interfaces RL et
RLD. Le commutateur LightStream 100 peut être utilisé dans un groupe de
travail ATM ou servir de petit fédérateur de complexe immobilier pour
connecter plusieurs routeurs ATM, commutateurs de réseau local multicouches,
ainsi que des serveurs et des clients hautes performances.
Commutateur
ATM d'entreprise Cisco LightStream 2020, pour les
applications de campus ou de réseau longue distance. Le commutateur ATM
LightStream 2020 supporte des lignes réseau à des débits conformes aux
liaisons T1 et E1 et offre une voie d'évolution vers une ligne réseau
SONET/SDH OC-3 par le biais de liaisons T3 et E3. Les modules latéraux
intelligents du LightStream 2020 supportent une large gamme de services,
notamment la transmission de trame, les services Frame Relay, l'interface UNI
ATM et l'interconnexion de réseaux locaux. Architecture d'interconnexion
de réseaux Cisco qui combine les avantages d'évolutivité, de stabilité et de
sécurité des plus récentes technologies de routage, la performance accrue de
la commutation ATM et RL et les avantages de gestion des réseaux locaux
virtuels. Voir aussi plate-forme
logicielle IOS Cisco.
Application de gestion
d'équipement à interface GUI qui fournit des données dynamiques sur l'état,
des statistiques et des informations complètes sur la configuration pour les
unités d'interconnexion de réseaux Cisco. En plus d'afficher une vue physique
du châssis d'unités Cisco, CiscoView offre des fonctions de surveillance des
unités et des fonctions élémentaires de dépannage. Il peut être intégré à
plusieurs plates-formes reconnues de gestion de réseau SNMP.
Gamme d'applications de
gestion d'interréseaux utilisant le protocole SNMP. CiscoWorks comprend des
applications pour la surveillance des routeurs et des serveurs d'accès, la
gestion des fichiers de configuration et le dépannage des incidents réseau.
Les applications CiscoWorks sont intégrées à plusieurs plates-formes de
gestion de réseau SNMP, notamment SunNet Manager, HP OpenView et IBM NetView.
Voir COS (classe de service). (Common Link
Access for Workstations) accès banalisé de lien pour station de travail.
Protocole de couche liaison de données utilisé par les systèmes RISC/6000
" channel attached " et les unités IBM 3172 exécutant TCP/IP sans
charge. L'accès banalisé de lien pour station de travail optimise
l'utilisation des canaux et permet à la carte processeur d'interface à
attachement canal d'offrir la fonctionnalité d'un 3172 au sein des
environnements TCP/IP et de supporter la liaison locale. Le résultat du
traitement par l'hôte TCP/IP est une série de datagrammes IP que le routeur
peut commuter sans modifications. (Cell line
card) carte d'interface de traitement des cellules.
Carte du commutateur ATM LightStream 2020 qui, en conjonction avec une carte
d'accès, supporte un maximum de deux ports latéraux OC-3c ou un port de ligne
réseau OC-3c. Une carte d'interface de traitement des cellules peut être
configurée comme carte à contacts imprimés ou carte réseau. (Command line
interface) interface de commande en ligne. Interface
de commande en ligne servant à la gestion des machines CISCO. Nœud ou programme (unité
frontale) qui demande des services d'un serveur. Voir aussi back end, frontal et serveur.
Voir LEC. (Connectionless
Network Protocol) protocole réseau non orienté connexion.
Protocole de couche réseau OSI qui n'exige pas l'établissement d'un circuit
avant la transmission de données. Voir aussi CLNS. (Connectionless
Network Service) service réseau non orienté connexion.
Service de couche réseau OSI qui n'exige pas l'établissement d'un circuit
avant la transmission de données. Le service CLNS achemine les messages à
leur destination sans tenir compte des autres messages. Voir aussi CLNP. (Cell loss
priority) priorité de perte cellule. Champ de
l'en-tête de cellule ATM qui détermine la probabilité qu'une cellule soit
abandonnée si le réseau devient encombré. Les cellules dont la priorité de
perte cellule = 0 font partie du trafic de données garanti et il est donc peu
probable qu'elles soient abandonnées. Les cellules dont la priorité de perte
cellule = 1 font partie du trafic de données non garanti et peuvent être abandonnées
dans des situations d'encombrement afin de libérer les ressources nécessaires
pour assurer l'acheminement du trafic de données garanti. (Coded mark inversion) codage à
inversion de marques. Technique de codage de ligne de
l'UIT-T précisée pour les transmissions STS-3c. Également utilisée pour les
systèmes DS-1. Voir aussi DS-1 et STS-3c. (Common
Management Information Protocol) protocole CMIP. Protocole
de gestion de réseaux OSI créé et normalisé par l'ISO pour la surveillance et
le contrôle de réseaux hétérogènes. Voir aussi CMIS. (Common
Management Information Services) services standard d'information de gestion.
Interface de service de gestion de réseaux OSI créée et normalisée par l'ISO
pour la surveillance et le contrôle de réseaux hétérogènes. Voir aussi CMIP. (Connection-Mode
Network Service) service réseau en mode connecté.
Prolonge la commutation X.25 locale à une variété de médias (Ethernet,
interface FDDI, Token Ring). Voir aussi CONP. (Connection
management) gestion de connexions. Processus
FDDI qui traite la transition de l'anneau d'un état à un autre (hors ligne,
actif, connecté, etc.) selon la spécification ANSI X3T9.5. (Central
office) Central Téléphonique. Infrastructure d'une
compagnie de téléphone à laquelle sont reliées toutes les boucles locales
d'une zone donnée et qui se charge de la commutation de circuits des lignes
des abonnés.
1) Processus selon lequel les
bits sont représentés par des tensions. Méthode de stockage ou de
transmission de données selon laquelle le bit ou l'octet le plus significatif
est présenté en premier. Comparer avec codage " little-endian ". Méthode de stockage ou de
transmission de données présentant d'abord le bit ou l'octet le moins
significatif. Comparer avec codage " big-endian ".
Voir CMI.
Voir AMI.
Système de codage bipolaire
mis au point initialement pour utilisation avec Ethernet. Données d'horloge
intégrées dans un flux de données synchrones et récupérées de ce dernier sans
qu'il soit nécessaire d'avoir des fils de synchronisation séparés. La
signalisation biphase ne comporte pas de courant continu.
Techniques utilisées en
électricité pour transporter des signaux binaires.
Voir NRZ.
Méthode de codage numérique
qui utilise une transition à mi-bit pour la synchronisation et une transition
en début de bit pour indiquer un zéro. Méthode utilisée par les réseaux Token
Ring et IEEE802.5.
Processus de stockage de
données numériques en commençant par l'octet le moins significatif. Utilisé
pour les nombres entiers et les adresses dans les équipements dotés de
microprocesseurs Intel.
Voir NRZI.
Méthode de codage numérique,
utilisée par IEEE 802.3 et Ethernet, selon laquelle une transition à la
moitié du temps de déplacement du bit est utilisée pour la synchronisation et
un 1 est dénoté par un niveau élevé au cours de la première moitié du temps
de déplacement du bit.
Voir B8ZS.
Code suffisamment intelligent
et comportant l'information de signalisation appropriée pour permettre la
détection et la correction de nombreuses erreurs à l'extrémité de réception.
Code qui peut détecter des
erreurs de transmission par l'analyse des données reçues, selon la conformité
des données aux lignes directrices structurelles appropriées.
Voir CRC.
Voir DCC.
Voir ZIP. (Coder-decoder)
codeur-décodeur. Dispositif qui utilise généralement
la modulation par impulsions et codage pour transformer les signaux
analogiques en flux de bits numériques, puis pour reconvertir les signaux
numériques en signaux analogiques.
Voir CODEC. Technique d'interrogation
utilisée par le protocole SNMP pour recueillir les informations nécessaires à
la supervision du réseau. Dans Ethernet, le résultat de
la transmission simultanée par deux nœuds. Les trames provenant de chacun des
dispositifs se heurtent au sein du média physique et sont endommagées. Voir
aussi domaine
de collision.
Voir CCITT.
Voir IEC.
Selon le protocole SNMP, un
groupe logique d'unités gérées et de systèmes d'administration de réseaux au
sein d'un même domaine administratif.
Mécanisme d'authentification
qui permet à une unité réseau intelligente de valider les demandes SNMP
provenant de sources telles que les systèmes d'administration de réseau. Un
commutateur ATM LightStream 2020, par exemple, répond uniquement aux demandes
SNMP provenant de membres de communautés connues, qui détiennent les
privilèges d'accès requis pour la demande. Voir aussi SNMP.
1) Transmission
d'informations.
Voir BSC.
Utilisation des satellites en
orbite pour relayer les données entre plusieurs stations terrestres. Les
communications par satellite offrent une grande largeur de bande à un coût qui
n'est pas tributaire de la distance entre les stations terrestres, de longs
délais de propagation ou de la capacité de diffusion broadcast. 1.) Unité réseau qui filtre,
achemine et circule les trames en fonction de l'adresse de destination de
chaque trame. Le commutateur fonctionne à la couche liaison de données du
modèle OSI.
Ensemble de commutateurs de
groupe de travail Cisco qui augmente la performance réseau des groupes de
travail client-serveur Ethernet. Le commutateur Catalyst Workgroup comprend
des améliorations logicielles pour la gestion des réseaux et offre une
interface de 100 Mbits/s aux serveurs et aux postes de travail spécialisés
Ethernet.
Unité de réseau longue
distance qui route les paquets par la route la plus efficace et qui permet à
de multiples connexions de partager un canal de communication. Parfois appelé
nœud de commutation de paquets (PSN) et officiellement nommé IMP.
Voir aussi IMP.
Voir commutateur LAN. Commutateur haute vitesse qui
achemine les paquets entre des segments de liaison de données. La plupart des
commutateurs LAN acheminent les données en fonction des adresses MAC. Ce type
de commutateur LAN est parfois appelé commutateur de trame. Les
commutateurs LAN sont souvent regroupés selon la méthode utilisée pour la
transmission des données : commutation de paquets " cut-through "
ou " Store and Forward ". Les commutateurs multicouches forment un
sous-ensemble de commutateurs LAN intelligents. Un exemple de commutateur LAN
est le Cisco Catalyst 5000. Comparer avec commutateur multicouche.
Voir aussi commutation
de paquets " cut-through " et commutation de paquets Store and Forward. Commutateur filtrant et
acheminant des paquets en fonction des adresses MAC et des adresses de
réseau. Sous-ensemble d'un commutateur LAN. Le Catalyst 5000 est un exemple
de commutateur multicouche. Comparer avec commutateur LAN.
Commutateur Token Ring Cisco
qui offre des segments de réseau local dédiés au full duplex à des serveurs
et autres postes de travail qui demandent un accès en commutation à haut
débit. Le Catalyst 1600 offre un maximum de 12 interfaces Token Ring
commutées et une commutation à faible niveau de latence entre les serveurs et
les clients par le biais d'un fédérateur.
Caractéristique Cisco selon
laquelle une mémoire cache de route est utilisée pour effectuer la
commutation de paquets par l'intermédiaire d'un routeur. Comparer avec commutation lente. Système de commutation dans
lequel une voie de communication physique spécialisée doit être établie entre
l'envoyeur et le destinataire pour la durée de " l'appel ". Ce
système est très souvent utilisé dans les réseaux des compagnies de
téléphone. Comparer avec conflit et passage de jeton
comme méthode d'accès aux canaux et avec commutation de messages et commutation de paquets
comme technique de commutation.
Méthode de commutation offrant
un pontage transparent à haut débit (100 Mbits/s) entre des réseaux Ethernet
et un pontage de conversion entre Ethernet et les interfaces CDDI et FDDI. Technique de commutation selon
laquelle les messages sont transmis d'un nœud à l'autre du réseau. Le message
est stocké sur chaque nœud jusqu'à ce qu'un chemin se libère et qu'il y soit
acheminé. Comparer avec commutation de circuits et commutation de paquets. Méthode de mise en réseau dans
laquelle les nœuds se partagent la bande passante lors de l'envoi des
paquets. Comparer avec commutation
de circuits et commutation de messages.
Voir aussi PSN
(réseau à commutation de paquets).
Mode de commutation de paquets
qui achemine les données au sein d'un commutateur de sorte que le début du
paquet sorte par le port de sortie du commutateur avant que le paquet ne soit
complètement passé par le port d'entrée. Une unité qui utilise la commutation
de paquets "cut-through" lit, traite et fait suivre les paquets dès
que l'adresse de destination est trouvée et que le port de sortie est
déterminé. Également appelée commutation de paquets à la volée.
Comparer avec commutation
de paquets Store and Forward.
Voir commutation de paquets "
cut-through ".
Technique de commutation de
paquets qui traite complètement les trames avant de les acheminer au port
approprié. Ce traitement comprend le calcul CRC et la vérification de
l'adresse de destination. De plus, les trames doivent être stockées
temporairement, jusqu'à ce que les ressources réseau (une liaison inutilisée,
par exemple) soient disponibles pour acheminer le message. Comparer avec commutation de paquets "
cut-through ". Traitement des paquets
effectué aux vitesses de niveau traitement, sans le recours à une mémoire
cache de route. Comparer avec commutation " Fast Switching ".
Voir DLSw. Commutation basée sur le
système de commutation sur silicium (SSE), qui permet de traiter les paquets
indépendamment du processeur système SSP. La commutation sur silicium permet
une commutation de paquets spécialisée à haut débit. Voir aussi SSE et SSP
(processeur de commutation sur silicium).
Technique utilisée pour
compenser les distorsions qui se produisent dans les canaux de communication.
Amplificateur et convertisseur
de signal peu coûteux qui conditionne les signaux numériques afin d'assurer
la fiabilité des transmissions sur de longues distances. Exécution d'un algorithme sur
un ensemble de données afin de réduire l'espace nécessaire pour stocker ces données
ou la largeur de bande nécessaire pour les transmettre. Comparer avec compression-extension et extension. Terme désignant à la fois deux
processus opposés : compression et extension. Portion du processus PCM par
lequel des valeurs de signaux analogiques sont arrondies de façon logique
afin de les transformer en valeurs numériques discrètes sur une échelle non
linéaire. Le nombre décimal est ensuite codé en binaire et transmis. Le
terminal récepteur exécute le processus inverse au moyen de la même échelle
non linéaire. Comparer avec compression et extension. Voir aussi loi a et loi MU. Une des cinq catégories de
gestion de réseau définies par l'ISO pour la gestion des réseaux OSI. Les
sous-systèmes de comptabilisation de trafic assurent la collecte de données
réseau liées à l'utilisation des ressources. Voir aussi gestion de la configuration, gestion de panne, gestion des performances et gestion de la sécurité. Un des quatre comptes
utilisateur par défaut créés en usine sur chaque commutateur ATM LightStream
2020. Le compte " fldsup " est destiné à l'usage du personnel sur
site. Son interface par défaut est l'interpréteur bash. Voir aussi bash.
Un des quatre comptes
utilisateur par défaut créés en usine sur chaque commutateur ATM LightStream
2020. Le compte " oper " est destiné aux utilisateurs généraux. Son
interface par défaut est l'interface de commande en ligne (CLI).
Un des quatre comptes
utilisateur par défaut créés en usine sur chaque commutateur ATM LightStream
2020. Le compte npadmin est réservé aux utilisateurs ayant droit à des
privilèges. Son interface par défaut est l'interface de commande en ligne
(CLI). 1.) Dans les systèmes UNIX,
compte doté de privilèges et utilisé exclusivement par les administrateurs
réseau et système.
Voir CSNET.
Voir hub (concentrateur).
Voir SAC.
Voir concentrateur de groupe de travail Cisco.
Gamme de concentrateurs de
groupe de travail Cisco qui combinent la petite taille des concentrateurs de
groupe de travail et la polyvalence des concentrateurs modulaires. Ces
concentrateurs supportent de 4 à 32 combinaisons de ports CDDI ou FDDI.
Voir DAC.
Fonction offrant une capacité
de mémoire tampon suffisante à une unité de destination pour permettre à une
source à haut débit de transmettre à son débit maximum même si l'unité de
destination est plus lente. Tout matériau offrant une
faible résistance au courant électrique. Tout matériau capable de transporter
un courant électrique. Voir isolant.
Groupe de systèmes autonomes
qui se fient à l'accessibilité et l'information de routage de leur propre
réseau plus qu'ils ne se fient à l'information qu'ils reçoivent des autres
systèmes autonomes ou des confédérations.
Voir CEPT.
Commande servant à entrer des
valeurs de registre de configuration. Outil de gestion utilisé
conjointement avec le commutateur ATM LightStream 2020 pour créer des
fichiers de base de données de configuration pour les nœuds d'un réseau ATM.
Le configurateur est une application HP OpenView exécutée sur un système
d'administration réseau. Voir aussi base de données de configuration.
Configuration HDLC comportant
une station principale et plusieurs stations secondaires.
Application Cisco permettant
de créer des fichiers de configuration pour plusieurs routeurs sans avoir à
connaître la syntaxe des commandes de routage. Configuration Builder est une
application Windows qui permet de configurer plusieurs routeurs à la fois, de
détecter automatiquement le modèle, la version de logiciel, le type d'image,
ainsi que le nombre et le type d'interfaces installées dans le routeur que
vous configurez, et d'importer rapidement dans plusieurs fichiers de
configuration des listes prédéfinies de mise en file d'attente par priorité,
des liste d'accès et des filtres.
Informations de configuration
essentielles entrées lorsqu'un nouveau routeur, commutateur ou autre
équipement configurable est installé dans un réseau. La configuration de base
d'un commutateur ATM LightStream 2020, par exemple, comprend les adresses IP,
la date, et les paramètres d'au moins une ligne réseau. La configuration de
base permet à l'équipement de recevoir une configuration complète du système
d'administration de réseaux.
Voir mode découverte.
Dans la procédure de commande
de liaison de données à haut niveau (procédure HDLC), une configuration de
réseau point à point avec deux stations combinées.
Commande utilisée pour charger
des données de configuration de la mémoire NVRAM.
Commande utilisée pour
configurer manuellement à partir de la console.
Trafic qui dépasse la capacité
de traitement d'un réseau.
Connecteur standard utilisé
pour la connexion d'un câble coaxial IEEE 802.3 10BASE2 à une unité MAU. (Data bus connector) connecteur DB. Type de
connecteur utilisé pour connecter des câbles série et parallèles à un bus de
données. Les noms de connecteur DB prennent la forme DB-x, où x
représente le nombre de (fils) dans le connecteur. Chaque ligne est connectée
à une broche du connecteur, mais dans bien des cas, une fonction n'est pas
assignée à toutes les broches. Les connecteurs DB sont définis par diverses
normes EIA/TIA.
Voir connecteur DIN. Connecteur de
norme allemande. Connecteur multibroches utilisé
dans certains ordinateurs Macintosh et PC compatibles IBM, ainsi que sur
certains panneaux de processeur réseau.
Voir MIC.
Voir RJ.
Voir rlogin.
Voir VCC.
Voir VCC.
Voir VPC.
Connexion créée par la couche
ATM afin de fournir la communication entre deux utilisateurs de service ATM
ou plus, tels que les processus ATMM. Une telle communication peut être
unidirectionnelle, à l'aide d'une connexion VCC, ou bidirectionnelle, à
l'aide de deux connexions VCC. Voir aussi couche ATM, ATMM et VCC.
Voir SVC.
Voir PVC. (Connection-Oriented
Network Protocol) protocole réseau orienté connexion.
Protocole OSI assurant un fonctionnement orienté connexion pour les
protocoles de couche supérieure. Voir aussi CMNS.
Équipement terminal de
traitement de données qui sert à envoyer des commandes à l'hôte. Méthode d'accès par laquelle
les unités réseau sont en concurrence afin d'obtenir l'autorisation d'accéder
au média physique. Comparer avec commutation de circuits et passage de jeton.
Relation formée entre des
routeurs voisins sélectionnés et des nœuds d'extrémité pour l'échange d'informations
de routage. La contiguïté repose sur l'utilisation d'un segment de média
commun.
Voir réglementation du trafic.
Mécanisme de gestion du trafic
au sein des réseaux ATM qui détermine si le réseau peut offrir un canal avec
une bande passante suffisante pour une connexion de canal virtuel.
Voir LCC. Technique visant à assurer
qu'une entité émettrice, comme un modem, n'inonde pas l'entité réceptrice de
données. Lorsque les tampons de l'unité réceptrice sont pleins, un message
est envoyé à l'unité émettrice afin qu'elle arrête la transmission jusqu'à ce
que les données dans les tampons aient été traitées. Dans les réseaux IBM,
cette technique porte le nom de régulation de trafic.
Méthode de contrôle de flux
selon laquelle un récepteur donne la permission à l'émetteur de transmettre
des données jusqu'à ce qu'une fenêtre soit remplie. Lorsque la fenêtre est
pleine, l'émetteur doit cesser de transmettre jusqu'à ce que le récepteur
annonce une plus grande fenêtre. Le protocole TCP, d'autres protocoles de
transport et plusieurs protocoles de couche liaison de données ont recours à
cette méthode de contrôle de flux.
Technique de contrôle du flux
permettant la transmission sur le réseau. La possession de tels permis
confère le droit de transmettre. La fonction de contrôle de flux isarythmique
n'est pas implantée de façon courante.
Voir LLC.
Processus de vérification de
l'intégrité d'un caractère. Le contrôle de parité consiste à ajouter un bit
afin de rendre impair (parité impaire) ou pair (parité paire)
le nombre total de 1 binaires dans un caractère ou un mot (à l'exclusion du
bit de parité).
Technique de détection et de
correction des erreurs qui se produisent au cours des transmissions de
données.
Voir réglementation du trafic.
Voir LLC2.
Voir SP.
1. Généralement, un dispositif
intelligent qui établit les connexions entre un groupe de terminaux et une
liaison de données.
Dans l'architecture SNA, un
nœud de sous-zone (tel qu'un IBM 3745) contenant un programme de contrôle de
réseau. Gestionnaire de contrôleur de
séquence tournant dans le processeur réseau de chaque commutateur ATM
LightStream 2020 d'un réseau ATM. Le processus de contrôle de séquence réarme
le contrôleur de séquence de façon à ce que le système redémarre
automatiquement en cas de défaillance du processeur réseau. Voir aussi horloge de contrôle de séquence.
La vitesse et la capacité à
laquelle un groupe d'unités d'interconnexion de réseaux exécutant un
protocole de routage donné peut s'entendre sur la topologie d'un interréseau
après un changement apporté à cette topologie.
1.) Permet à du matériel
utilisant des formats de données différents de communiquer en traduisant le
code de transmission des données de l'une des unités dans le code de l'autre
unité.
Voir COSINE.
Voir CDDI.
Commande utilisée pour copier l'image système
vers un serveur TFTP.
Commande utilisée pour stocker la configuration
actuelle en mémoire vive dans la mémoire NVRAM.
Commande utilisée pour stocker
la configuration actuelle en mémoire vive sur un serveur réseau TFTP.
Commande utilisée pour
télécharger la nouvelle image du serveur TFTP.
Commande utilisée pour
télécharger des données de configuration d'un serveur réseau TFTP.
Voir AUI.
Voir COS.
Voir CREN. 1.) Classe de service.
Directive d'un protocole de haut niveau au sujet du traitement de ses
messages par les protocoles de niveau inférieur. Dans le cas du routage SNA
de sous-zone, les définitions de classe de service sont utilisées par les
nœuds de sous-zones afin de déterminer la route optimale pour l'établissement
d'une session donnée. Une définition de classe de service est composée d'un
numéro de route virtuelle et d'un champ de priorité de transmission.
Également appelée ToS (type de service). Cooperation for Open Systems Interconnection
Networking in Europe. Projet européen, subventionné par la Communauté
européenne (CE), qui avait pour but de créer un réseau de communication entre
des organismes scientifiques et industriels en Europe. Le projet s'est
terminé en 1994. Couche 7 du modèle de référence OSI.
Cette couche fournit des services aux processus d'application (tels le
courrier électronique, le transfert de fichiers et l'émulation de terminal)
qui se trouvent à l'extérieur du modèle OSI. La couche application précise et
détermine la disponibilité des entités communicantes (ainsi que les
ressources nécessaires à leur connexion), synchronise les applications
coopératives et établit une entente sur les procédures de reprise sur erreurs
et de contrôle de l'intégrité des données. Correspond en gros à la couche de services de transaction du
modèle SNA. Voir également couche liaison de données, couche réseau, couche physique, couche de présentation, couche session et couche transport. Sous-couche de la couche
liaison de données non dépendante du service dans un réseau ATM. La couche ATM
reçoit les segments de données utiles de 48 octets de toutes les AAL et
attache un en-tête de 5 octets à chacun, produisant des cellules ATM standard
de 53 octets. Ces cellules sont passées à la couche physique afin d'être
transmises à travers le média de transmission physique. Voir aussi AAL.
Voir AAL.
Voir AAL1.
Voir AAL2.
Voir AAL3/4.
Voir AAL5.
Couche 3 dans le modèle
d'architecture SNA.
Cette couche fournit des services de maintien de séquence relatifs au
réassemblage approprié des données. La couche de contrôle d'acheminement est
également responsable du routage. Correspond en gros à la couche réseau du
modèle OSI. Voir aussi couche
de contrôle de flux, couche de contrôle de liaison de données, couche de contrôle physique, couche de présentation, couche de services de transaction et couche de transmission. Couche 5 du modèle
d'architecture SNA.
Cette couche détermine et gère les interactions entre les partenaires de
session, et particulièrement le flux de données. Correspond à la couche session du
modèle OSI. Voir aussi couche
de contrôle de liaison de données, couche de contrôle d'acheminement, couche de contrôle physique, couche de présentation, couche de services de transaction et couche de transmission.
Couche 2 du modèle
d'architecture SNA.
Responsable de la transmission des données par une liaison physique
particulière. Correspond plus ou moins à la couche liaison de données du
modèle OSI. Voir aussi couche
de contrôle de flux, couche de contrôle d'acheminement, couche de contrôle physique, couche de présentation, couche de services de transaction et couche de transmission. Couche 1 dans le modèle
d'architecture SNA. Cette
couche est responsable des spécifications physiques pour les liaisons
physiques entre les systèmes d'extrémité. Correspond en gros à la couche physique du
modèle OSI. Voir aussi couche
de contrôle de flux, couche de contrôle de liaison de données, couche de contrôle d'acheminement, couche de présentation, couche de services de transaction et couche de transmission. 1.) Couche 6 du modèle de référence OSI.
Cette couche assure que les informations envoyées par la couche application
d'un système sont lisibles par la couche application d'un autre système. La
couche de présentation se préoccupe aussi des structures de données utilisées
par les programmes et négocie la syntaxe de transfert des données pour la
couche application. Correspond en gros à la couche de présentation du
modèle SNA. Voir aussi couche
application, couche liaison de données, couche réseau, couche physique, couche session et couche transport.
Couche 7 dans le modèle d'architecture
SNA.
Représente les fonctions d'applications utilisateur, comme les tableurs,
traitements de texte ou logiciels de courrier électronique, qui permettent
aux utilisateurs d'être en interaction avec le réseau. Correspond en gros à
la couche
application du modèle de référence OSI. Voir
aussi couche
de contrôle de flux, couche de contrôle de liaison de données, couche de contrôle d'acheminement, couche de contrôle physique, couche de présentation et couche de transmission. Couche 4 dans le modèle
d'architecture SNA.
Cette couche est chargée d'établir, de maintenir et de mettre fin à des
sessions SNA, de mettre des messages de données en série et de contrôler le
flux au niveau session. Correspond en gros à la couche transport du modèle OSI. Voir aussi couche de contrôle de flux, couche de contrôle de liaison de données, couche de contrôle d'acheminement, couche de contrôle physique, couche de présentation et couche de services de transaction.
Voir couche liaison de données. Couche 2 du modèle de référence OSI.
Cette couche assure un transit fiable des données par une liaison physique.
La couche liaison de données s'occupe de l'adressage physique, de la
topologie du réseau, de la gestion de ligne, de la notification des erreurs,
de la livraison ordonnée des trames et du contrôle de flux. L'IEEE a divisé
cette couche en deux sous-couches : la sous-couche MAC et la sous-couche LLC.
Parfois simplement appelée couche liaison. Correspond plus ou moins à
la couche
de contrôle de liaison de données du modèle
SNA. Voir aussi couche
application, LLC, MAC, couche réseau, couche physique, couche de présentation, couche session et couche transport. Couche 1 du modèle de référence OSI. La
couche physique définit les spécifications électriques, mécaniques,
procédurales et fonctionnelles pour activer, maintenir et désactiver la
liaison physique entre les systèmes d'extrémité. Correspond à la couche de contrôle physique du
modèle SNA. Voir aussi couche
application, couche liaison de données, couche réseau, couche de présentation, couche session et couche transport. Couche 3 du modèle de référence OSI.
Cette couche assure la connectivité et la sélection du trajet entre deux
systèmes d'extrémité. C'est dans cette couche qu'a lieu le routage.
Correspond en gros à la couche de contrôle d'acheminement du modèle
SNA. Voir aussi couche
application, couche liaison de données, couche physique, couche de présentation, couche session et couche transport. Couche 5 du modèle de référence OSI.
Cette couche établit, gère et ferme les sessions entre des applications, et
gère l'échange de données entre les entités de la couche de présentation.
Correspond en gros à la couche de contrôle de flux du modèle
SNA. Voir aussi couche
application, couche liaison de données, couche réseau, couche physique, couche de présentation et couche transport. Couche 4 du modèle de référence OSI.
C'est à cette couche que s'établit une communication réseau fiable entre les
nœuds d'extrémité. La couche de transport procure des mécanismes permettant
l'établissement, la maintenance et la coupure des circuits virtuels, la
détection et la reprise sur incident ainsi que le contrôle du flux
d'information. Correspond à la couche de transmission du
modèle SNA. Voir aussi couche
application, couche liaison de données, couche réseau, couche physique, couche de présentation et couche session.
Voir TCU.
Voir TIC.
Voir messagerie électronique. Valeur arbitraire,
généralement basée sur le nombre de sauts, la largeur de bande du média ou
d'autres mesures, attribuée par un administrateur réseau et servant à
comparer les diverses voies d'un environnement d'interréseau. Les protocoles
de routage utilisent les valeurs de coût pour sélectionner la meilleure voie
possible vers une destination donnée : plus les coûts sont faibles, meilleure
est la voie. Parfois appelé coût de la route. Voir aussi métrique de routage.
Voir coût. (Control
point) point de contrôle. Dans le cadre des réseaux SNA,
élément qui identifie les composants réseau APPN d'un nœud PU 2.1, gère les
ressources matérielles et peut offrir des services à d'autres unités. Au sein
d'un réseau APPN, les points de contrôle peuvent communiquer avec les points
de contrôle logiquement adjacents en établissant des sessions avec eux. Voir
aussi EN et NN. (Common part
convergence sublayer) sous-couche de convergence. Une
des deux sous-couches de toute couche d'adaptation ATM. La sous-couche de
convergence est indépendante du service et est subdivisée en sous-couche de
convergence et en sous-couche de segmentation et réassemblage. La sous-couche
commune de convergence est chargée de la préparation des données avant leur
acheminement dans le réseau ATM. Elle crée, notamment, les cellules de
données utiles de 48 octets qui sont envoyées à la couche ATM. Voir aussi AAL, couche ATM, CS, SAR et SSCS. Équipement
placé chez le client pour l'opérateur. Équipement
d'extrémité, tels que terminaux, téléphones et modems, fourni par la
compagnie de téléphone, installé chez le client et relié au réseau de la
compagnie de téléphone. (Common
Programming Interface for Communications) interface de programmation de
communications. Interface API indépendante de la
plate-forme, développée par IBM et utilisée pour assurer la portabilité des
applications APPC. Voir aussi APPC.
(Central processing unit) processeur. Composant
d'un ordinateur qui contrôle tous les autres. Il récupère les instructions en
mémoire et les décode. Il peut stocker des données en mémoire ou les
récupérer, ou activer des périphériques afin d'exécuter des opérations
d'entrée-sortie. (Cyclic redundancy check) code de
redondance cyclique. Technique de contrôle d'erreurs par
laquelle le récepteur d'une trame calcule un reste en divisant le contenu de
la trame par un nombre binaire premier et compare ce reste calculé à une
valeur enregistrée dans la trame par le nœud de départ. Corporation for Research and Educational Networking. Le résultat
de la fusion des réseaux BITNET et CSNET. Le CREN fournit, par
l'intermédiaire de BITNET III, des services de connectivité Internet à ses
membres, notamment des étudiants, des diplômés, le personnel enseignant et
autres intervenants des institutions d'enseignement et des centres de
recherche participants. Voir aussi BITNET, BITNET III et CSNET. L'application d'un algorithme
spécifique à des données, de manière à modifier le format de ces dernières
afin qu'elles deviennent incompréhensibles à ceux qui ne sont pas autorisés à
y avoir accès. Voir aussi décryptage. (Convergence
sublayer) sous-couche de convergence. Une des
deux sous-couches de la sous-couche CPCS de couche d'adaptation ATM, chargée
du remplissage et du contrôle d'erreurs. Une fin de trame de 8 octets est
ajoutée aux unités de données de protocole provenant de la sous-couche de
convergence spécifique aux services (pour le contrôle d'erreur et pour
fournir d'autres données de contrôle). Ces unités sont aussi remplies, s'il y
a lieu, afin que la longueur de l'unité résultante soit divisible par 48. Ces
unités sont ensuite acheminées à la sous-couche de segmentation et
réassemblage de la sous-couche commune de convergence pour un traitement
ultérieur. Voir aussi AAL, CPCS, SAR et SSCS. Canadian
Standards Association. Organisme canadien qui homologue
les produits conformes aux normes canadiennes en matière de sécurité. (Compressed
Serial Link Internet Protocol) protocole de compression de liens Internet.
Prolongement du protocole SLIP qui permet, lorsque cela est justifié, de ne
transmettre que les données d'en-tête sur une connexion SLIP, ce qui réduit
le délai de traitement et augmente le débit des paquets sur les lignes SLIP. Voir
aussi SLIP. (Carrier
sense multiple access collision detect) détection de porteuse avec accès
multiple. Mécanisme d'accès aux médias par lequel les
unités qui sont prêtes à transmettre des données vérifient d'abord le canal
afin de détecter une porteuse. Si aucune porteuse n'est détectée pendant un
délai donné, l'unité peut transmettre. Si deux unités transmettent
simultanément, une collision se produit et elle est détectée par toutes les
unités touchées. Cette collision retarde ensuite toute nouvelle transmission
par ces unités pour une période de temps aléatoire. L'accès CSMA/CD est
utilisé par les protocoles Ethernet et IEEE 802.3. Computer
Science Network. Vaste interréseau composé principalement
d'universités, de centres de recherche et d'entreprises. Les réseaux CSNET et
BITNET ont fusionné pour former le CREN. Voir aussi BITNET et CREN. (Complete
sequence number PDU) PDU contenant le numéro de séquence entier.
Unité de données de protocole envoyée par le routeur désigné d'un réseau à
protocole OSPF afin de maintenir la synchronisation de la base de données. (Channel
service unit) unité CSU. Unité d'interface numérique qui
relie l'équipement des utilisateurs finals à la boucle numérique locale de
téléphonie. Souvent désignée conjointement avec le poste de données sous le
nom d'unité CSU/DSU. Voir aussi DSU.
Outil offert par le
commutateur ATM LightStream 2020, accessible depuis l'interpréteur de
commandes bash. Csumon permet la connexion à une unité CSU/DSU externe au
moyen d'une ligne bas débit à des fins de surveillance et de contrôle et peut
afficher des statistiques sur l'unité CSU/DSU interne d'une ligne à débit
moyen. 1.) (Clear To Send)
prêt à émettre. Circuit défini par la norme EIA/TIA-232, qui est
activé lorsque l'ETCD est prêt à accepter des données de l'ETTD.
Voir circuit virtuel. Cisco Extended Bus. Bus de
données pour les processeurs d'interface des routeurs Cisco 7000 d'un débit
de 533 Mbits/s. Voir aussi processeur SP. Bus de données de 1,067
Gbits/s pour les processeurs d'interface. Utilisé dans les routeurs Cisco
7500. Voir aussi Cisco
7500.
Voir hertz. |